Une sorte de loi du genre
Comme autre « belle » phrase
entendue lors du dernier conseil, il y a celle de l’adjoint Philippe
Métézeau : « On entre dans une période où un certain nombre de
projets vont aboutir ».
A
Argenteuil, le terme d’ « aboutir » n’est pas exact.
L’expression qui conviendrait serait plutôt celle de « commencer ».
Sur
un mandat communal de 6 ans, les deux dernières années sont destinées à donner
de la couleur aux réalisations de la municipalité sortante, avec une
augmentation afférente des dépenses.
C’est
certes la loi du genre. Une raison de plus pour rester modeste à Argenteuil, et
pour éviter toute envolée sur le sujet.
En
revanche, dès mars 2014, la construction des groupes scolaires qui manquent à
Argenteuil (deux à quatre) auraient dû être des projets engagés immédiatement.
1 commentaires:
Oui, je maintiens ma déclaration.
Après que d’autres se soient employés à confronter les chiffres et parler compte administratif sous un aspect comptable (ce qui était indispensable dans un débat sur le CA),j’ai voulu qu’un élu s’exprime tout de même sur les projets que le résultat du CA allaient enfin permettre de réaliser. Interpellé par un élu sur 2 sujets, seniors, jeunesse, qui concernaient directement ou indirectement ma délégation, j’ai cité quelques projets qui allaient voir le jour ou enfin se réaliser dans ce domaine. Oui, comme vous le dites très justement, il faut souvent un temps de préparation avant de pouvoir commencer à la réalisation. nous avons des projets dans les cartons, Maisons des seniors, accueil petite enfance auxquels j’ai ajouté la Mission emploi qui se développe. Ça, c’est du concret.
Je ne sais pas si la phrase était belle, mais en tout cas elle était concrète. Et marquée de modestie puisque j’ai bien précisé que nos’projets -meme ambitieux- ne pourraient pas répondre à toutes les attentes des habitants, quelle que soit notre volonté.
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