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jeudi 13 février 2025

Argenteuil, lycées, des moyens en moins à la rentrée prochaine ? Des difficultés en plus pour les élèves

À tour de rôle, tous les établissements touchés. Faire poids ensemble contre les attaques gouvernementales

 

 

La majorité des enseignants du lycée Georges Braque ont fait grève hier mercredi. Ils sont en colère contre la baisse programmée des moyens pour leur lycée, prévue à la rentrée prochaine. Elle entraînerait une nouvelle hausse du nombre d’élèves par classe et l’augmentation des difficultés, pour les personnels et les élèves dans ce lycée très populaire.

         Chaque année, le rectorat joue au jeu de diminuer les moyens ici pour les maintenir là, en organisant l’inverse l’année suivante. Un petit jeu qui vise à diviser les personnels.

         Le service public d’éducation connaît des attaques et des difficultés majeures depuis des années. Seul la colère et la lutte massive des enseignants et de tous les personnels peuvent arrêter ces attaques gouvernementales. Il faut préparer cette lutte dans la conscience qu’il faudra qu’elle soit le plus générale possible. DM

 

vendredi 20 septembre 2024

Élèves sans lycée : L'équation est simple

 

13 800 lycéens dans cette galère qu’ils dénoncent

 

 

Selon les chiffres officiels, 13 800 lycéens sont encore sans affectation scolaire quinze jours après la rentrée, dont quelque 9 000 dans la voie professionnelle. La filière la plus en tension est celle du bac Sciences et technologie du management et de la gestion (STMG). Cela ne représente que 0,3 % de l’ensemble de l’ensemble de la jeunesse scolarisée, rassure le ministère de l’Éducation nationale : les milliers d’élèves concernés et leurs parents apprécieront !

         Si autant de jeunes restent aux portes des établissements, c’est que des classes, voire des établissements, en particulier des lycées professionnels, ont été fermés ; ou encore parce que les classes sont surchargées. Pour le comprendre, pas besoin d’être un as des mathématiques.

mardi 29 août 2023

Baccalauréat 2024 et les lubies du gouvernement contre la formation des élèves

Ils n’ont rien d’autre à faire ?

 

Les pieds nickelés et l’avenir de la jeunesse

Le gouvernement vient d’annoncer une marche en arrière à propos des épreuves de « spécialités » du baccalauréat. Celles-ci comptent pour une part importante pour le résultat de ce dernier. Gros malin, le gouvernement avait décidé de les faire passer en… mars. Rétropédalage, elles se passeront l’an prochain en juin.

         Aux lendemains d’épreuves en mars dernier, les enseignants de ces matières avaient vu disparaître comme par enchantement un grand nombre de leurs élèves, en particulier dans les lycées des quartiers populaires… comme on pouvait s’y attendre.

         Mais ces messieurs-dame de Matignon comme du ministère de l’Éducation nationale rue de Grenelle produisent régulièrement des lubies aux dépens de la formation des élèves.

         On attend les prochaines péripéties de leurs sombres aventures… DM