mercredi 30 septembre 2020

Liban, Macron, père la morale... coloniale

Représentant du Capital ici, de l’impérialisme là-bas

 


En janvier 2017, Macron au côté du Premier ministre libanais de l'époque, Saad Hariri, auquel il n'avait alors rien à reprocher...

         « J’ai honte » des hommes politiques au Liban, s’est exclamé Macron. Ce n’est pas leur corruption et leur clientélisme qui l’indignent mais que la démission du Premier ministre libanais ait rendu impossible l’application du plan que Macron voudrait imposer aux Libanais.

         Non, l’esprit colonial n’est pas mort, et Macron le perpétue.

 Avec la nouvelle interface de Blospot, malgré mes paramètres, je ne suis jamais sûr que mes 5 articles du jour apparaîtront dans la première page du jour et dans l’ordre souhaité. Si vous ne trouvez pas les cinq, cela signifie que le manquant ou les manquants se trouvent dans la page suivante à « articles plus anciens. Sur ce, bonne lecture, et j’attends toujours et encore vos commentaires.

 

Avec la nouvelle interface de Blospot, malgré mes paramètres, je ne suis jamais sûr que mes 5 articles du jour apparaîtront dans la première page du jour et dans l’ordre souhaité. Si vous ne trouvez pas les cinq, cela signifie que le manquant ou les manquants se trouvent dans la page suivante à « articles plus anciens. Sur ce, bonne lecture, et j’attends toujours et encore vos commentaires.

         Et puis, nous avons fait le choix de tenir chaque jour de cette façon le blog. Cela fait plus de 13000 « posts » depuis 2011. Il y a donc bien des informations à retrouver dans ces « articles plus anciens » DM

Éducation : les larmes pour les uns, les milliards pour les autres

 

Avec une partie des cent milliards, que ne pourrions-nous pas faire

 

Rassemblement à Bobigny, le 3 octobre 2019

À Pantin, en Seine-Saint-Denis, une marche a eu lieu en hommage à Christine Renon. Il y a juste un an, cette institutrice s’était suicidée en dénonçant le manque de moyens dans les écoles. Le gouvernement avait alors versé quelques larmes et promis du changement.

         Aujourd’hui rien n’a changé : il réserve ses milliards au patronat, pendant que les enfants des banlieues populaires vont continuer à s’entasser dans des classes surchargées.