vendredi 31 décembre 2021

Camarades, amis, lecteurs, Lo-Argenteuil, dernier jour d’une année difficile, mais avant, après, toujours, la même volonté

 

La page se tourne, vive 2022, de volonté et de combat

 

Un tableau que j’aime beaucoup de Toulouse-Lautrec : Rosa la rouge

Cela fait deux ans que chacun d’entre nous vit dans l’inquiétude et subit une situation qui est un « bon » résumé du cadre de la société actuelle, le capitalisme. Des frontières qui n’entravent pas la circulation du virus, alors que l’organisation à l’échelle planétaire offrirait de toutes autres possibilités de combat. La soif du profit loin des intérêts de l’humanité. La rivalité catastrophique entre les trusts pharmaceutiques. La situation du système de santé attaqué de toutes parts…

         L’inflation qui rogne les revenus va obliger, comme c’est le cas déjà au niveau de nombreuses entreprises à travers des actions partielles, à des luttes d’une toute autre ampleur. Leur généralisation est nécessaire, elle seule peut faire craindre au Capital de perdre ses profits. Quand les travailleurs le décideront, ils ont la capacité de faire reculer les actionnaires et leurs serviteurs gouvernementaux. Les travailleurs du monde ont même la capacité de renverser le capitalisme et d’aider à passer à une autre ère.

         C’est dans cette situation doublement difficile qu’arrivent les prochaines élections présidentielles des 10 et 24 avril prochains. Le monde du travail n’a rien à en attendre.

         Pour notre part, avec la candidature de notre camarade Nathalie ARTHAUD, cette campagne va être l’occasion de discuter plus largement, de faire partager notre programme de mobilisation et nos perspectives communistes, d’élargir notre réseau militant, et de convaincre de faire un vote de classe, minoritaire dans la période actuelle, mais essentiel pour que s’expriment les intérêts du « camp des travailleurs ».

         Cette campagne sera marquée en février par un grand meeting, salle de la Mutualité à Paris, le samedi 12 février prochain à 15 heures.

         Notre campagne va durer trois mois. Nous nous préparons à en profiter à plein dès le lendemain du 1er janvier 2022.

         J’espère que vous ne serez pas seul ce soir. Pour ma part, minuit passé, je penserai à vous, travailleurs du monde, femmes et hommes d’ici, mes camarades militants, mes amis, mes camarades, mes voisins d’Argenteuil que j’aime croiser et qui forment un petit réseau chaleureux.       Hauts les cœurs les amis ! Faites très attention à vous ! Salut à vos proches ! Que vive ce soir un très beau 31 décembre, et que l’année qui vient ne ressemble pas trop à la précédente et qu’elle soit celle d’un nouveau printemps,

                                                                                          Dominique

Les permanences des jours à venir :

-dimanche 2 janvier, de 11 h. à midi marché Héloïse ;

-mercredi 5 janvier, de 11 h. à 11 h.30 marché des Champioux.

 

Nathalie Arthaud dans les médias :

Regardez les nombreuses vidéos sur le site lutte-ouvriere.org

 

Achetez notre hebdomadaire Lutte ouvrière (1,2 euro) numéro 2787, et Lutte de classe (2,5 euros) n°220 (au « Presse papier » seulement), lors des permanences et :

         Chez les marchands de la presse :

                   -au Val d’Argenteuil-nord, bureau de tabac de la « dalle » ;

                   -librairie « Le presse papier », avenue Gabriel Péri.

 

La Fête de Lutte ouvrière à Presles, les 27, 28 et 29 mai 2022

Les habitués de la fête de Lutte ouvrière à Presles savent que celle-ci se tient d’ordinaire lors du week-end de la Pentecôte. Or la ligne H de la SNCF, qui dessert la gare de Presles-Courcelles, sera interrompue pour travaux à la Pentecôte 2022. C’est pourquoi nous avons décidé d’avancer notre fête annuelle, et de l’organiser pendant le week-end de l’Ascension, soit les vendredi 27, samedi 28 et dimanche 29 mai 2022. Des dates à retenir !

 

Attention : mes 5 articles du jour apparaissent parfois sur deux pages voire sur trois pages. Pour lire les 5 articles, cliquez en bas de la première page sur « articles plus anciens). DM.


Urgences : quand il y a urgence à embaucher

Au CHU de Rouen comme partout ailleurs

 

 

La situation du centre hospitalo-universitaire de Rouen est, comme dans tous les hôpitaux publics, catastrophique.

Manque de personnel, soignants épuisés, lits fermés : le CHU ne parvient pas à accueillir les malades dans de bonnes conditions. Les urgences sont engorgées : certains jours, 120 personnes attendent sur des brancards dans les couloirs.

Pour dénoncer cette situation invivable, les soignants des urgences se sont mis en grève lundi 27 décembre. Ils réclament des embauches. Face au mépris du gouvernement, qui continue de démolir les hôpitaux, il faut souhaiter que leur mouvement fasse tache d’huile.