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lundi 9 juin 2025

Bayrou-Darmanin : Bas de plancher

Les démagogues

 

Ce jour-là, lui, il n’avait pas encore à Argenteuil été débarrassé de son bracelet

Bayrou et son ministre de la Justice, Darmanin, ont appelé à l’instauration de peines minimales, reprenant le mythe d’une justice trop laxiste envers les jeunes accusés de vols et violences après la victoire du PSG en Ligue des Champions.

         De telles « peines planchers », instaurées par Sarkozy puis supprimées sous Hollande, n’ont pas diminué la délinquance et, comme l’ont dit des juges, elles seraient aujourd’hui inapplicables car les prisons sont déjà plus que pleines.

         En réalité, de nombreux jeunes ont été jugés en comparution immédiate, et condamnés bien plus vite que tous les patrons délinquants ou les politiciens véreux pour qui les procédures prennent des années.

 

mercredi 12 septembre 2018

Etat et Emploi ne font pas bon ménage


Le gouvernement veut en détruire un maximum

 
Tous les services publics sont en recul

Pour répondre aux critiques de la droite qui lui reproche de ne pas tailler assez brutalement dans les effectifs de fonctionnaires, le gouvernement a répondu ce week-end par une interview au journal Les Échos du secrétaire d'État à la fonction publique, Olivier Dussopt.
Il affirme que l'objectif de supprimer 50 000 emplois dans la fonction publique d'État est « très largement atteignable ». Il confirme également que 70 000 autres emplois seront supprimés dans les collectivités territoriales (mairies, départements, ...).
Et après cela Macron ose prétendre que sa politique de destruction des droits des travailleurs a pour but de créer des emplois !

samedi 8 septembre 2018

9 octobre : riposter à Macron et aux patrons ! Un article de notre hebdomadaire Lutte ouvrière


9 octobre : riposter à Macron et aux patrons !

Les attaques du gouvernement contre les travailleurs, actifs, retraités ou sans emploi, n’ont pas cessé de tout l’été et reprennent de plus belle à la rentrée. Des organisations syndicales de salariés, la CGT, FO, ainsi que l’UNEF étudiante et l’UNL lycéenne ont fixé au mardi 9 octobre une journée interprofessionnelle de mobilisation et de grève.
Les travailleurs retraités sont attaqués par le blocage des pensions.
Après avoir été délestés depuis janvier de quelques dizaines d’euros par mois, ils vont encore être volés d’autant, puisque les prix augmentent avec une inflation de 2,3 % par an constatée en août.
Nombre d’entre eux, qui auront vu leurs rentrées diminuer de quelques centaines d’euros en 2018, en perdront encore quelques centaines d’autres en 2019 et 2020 !
Pour les allocations familiales et les aides au logement, il en ira de même.
D’autres attaques sont déjà programmées, telles que les suppressions de postes dans la fonction publique, la quasi-disparition des emplois aidés, la réforme des retraites, les menaces contre les chômeurs… alors que le chômage continue de peser sur six millions de personnes.
Ces milliards récupérés en rognant le pouvoir d’achat de la classe ouvrière, et particulièrement des plus anciens et des plus pauvres, sont distribués aux plus riches, grands patrons et financiers.
Organiser une riposte collective, la plus massive possible, des travailleurs actifs, chômeurs et retraités s’impose, à commencer par la journée du 9 octobre.

                                                Viviane LAFONT (Lutte ouvrière n°2614)



vendredi 29 juin 2018

Offensive du Capital et de Macron : contre eux, tôt ou tard la colère se lèvera


Hier, entre Bastille et République, nous, nous étions présents

 
En tout et pour tout, sans oublier la photographe et les deux conducteurs du ballon

Nous étions le nombre que nous étions entre Bastille et République, mais finalement heureux d’en être.
         De nombreux responsables syndicaux étaient absents. Il faut dire qu’ils avaient appelé du bout des lèvres, quand ils l’avaient fait. A Argenteuil, un appel chez les Territoriaux était apparu sur le site syndical 48 heures avant le 28, un point c’est tout. Résultat, nous étions, en comptant bien une dizaine dans le « cortège » du Val d’Oise, dont quatre d’Argenteuil de l’Union Locale CGT. Mais nous avons aussi rencontré une instit retraitée. Bravo à elle. Et puis, il y avait le ballon du 95… Une mention spéciale pour nos amis de la CGT-Bezons. Ils étaient six ! Bravo aussi à eux…
         Oui, tout cela n’est pas très sérieux.
         Mais il y avait un certain nombre de cheminots, et rien que pour cela, nous n’avions pas fait le déplacement pour rien. Oui, nous étions heureux d’être à leur côté, eux qui pour certains ont fait déjà plus d’un mois de grève !
         Et puis, nous avons pu manifester dans le cortège de Lutte ouvrière dont les militants comme d’habitude étaient présents en nombre. DM

Pour comprendre la situation actuelle 

Un super numéro de notre revue Lutte de classe vient de paraître. Au sommaire :
-La grève des cheminots et les grandes manœuvres des partis de la bourgeoisie
-La grève des cheminots : premières leçons
-Autonomes et black blocs : une fausse radicalité et une impasse
-Martinique et Guadeloupe : le scandale de l’empoisonnement au chlordécone
-Les Kurdes de Syrie soumis aux manœuvres des différentes puissances
-Israël-Palestine, entre massacres et colonisation
En vente à nos permanences de rue, et à la librairie du Presse-papier à Argenteuil

samedi 26 mai 2018

Manifestation aujourd’hui 26 mai, l’appel de Lutte ouvrière


Paris :  Manifestons le 26 mai !

à 14h30

Samedi 26 mai aura lieu la manifestation organisée par des organisations politiques de gauche, des associations et des syndicats, dont la CGT. Lutte ouvrière participera à cette manifestation aux côtés des travailleurs qui veulent profiter de cette occasion d’exprimer leur soutien aux cheminots et leur opposition à la politique de Macron, faite sur mesure pour le grand capital.

Mais Lutte ouvrière y affirmera en même temps qu'une énième union de la gauche, qu’on nous présente comme la seule alternative pour les travailleurs, n’en est pas une. Car remplacer Macron par qui que ce soit d’autre ne mettra pas fin au pouvoir de l’argent de la classe capitaliste. C’est le monde du travail, conscient de sa force et organisé pour défendre ses intérêts politiques, qui en a le pouvoir !

Le cortège de Lutte ouvrière a rendez-vous à 14h30 à Gare de l'Est, au croisement du boulevard Magenta et de la rue du 8 mai 45.


Tous ceux à Argenteuil
Qui veulent manifester avec Lutte ouvrière
Sur les bases que nous affirmons ci-dessus
Rendez-vous
13 heures 15
« Café des 2 gares »
Gare d’Argenteuil - sortie Orgemont

                                                                     
Le tract de Lutte ouvrière distribué aujourd'hui



mercredi 23 mai 2018

Fonctionnaires : un 22 mai de lutte


Il faudra des luttes massives et générales



L’ensemble des syndicats de la Fonction publique appellent à la grève et aux manifestations ce mardi 22 mai contre le plan du gouvernement prévoyant la suppression de 120 000 postes de fonctionnaires, l’extension de la précarité et le développement du salaire au mérite. Les fonctionnaires et plus largement tous les salariés du secteur public ont toutes les raisons d’être révoltés par le blocage de leurs salaires, par la dégradation dans tous les services du fait du manque de moyens, comme dans les hôpitaux ou les écoles primaires. La situation devient de plus en plus intolérable.
Il faudra des luttes massives et générales pour inverser cette dégradation programmée par Macron et sa bande, dégradation à la fois du service rendu au public et des conditions de travail des fonctionnaires et assimilés.

jeudi 17 mai 2018

Fonctions publiques, territoriale, hospitalière, d’Etat, dans la rue le 22 mai !


Travailleurs de la fonction publique : dans la rue le 22 mai !

Après les manifestations réussies du 10 octobre et du 22 mars, le 22 mai sera une nouvelle journée de mobilisation pour les travailleurs de la fonction publique. Toutes leurs organisations syndicales y appellent conjointement et des manifestations auront lieu dans de nombreuses villes.
Les revendications mises en avant sont limpides. Les grévistes et les manifestants, ainsi que ceux qui les soutiennent, rejettent le projet gouvernemental de suppression de 120 000 postes d’ici la fin du quinquennat, qui entraînera la dégradation des services publics indispensables à la population. Ils exigent aussi que leur pouvoir d’achat cesse de s’effondrer et que leurs salaires soient sérieusement augmentés.
Le plan CAP 2022, destiné à réaliser 4,5 milliards d’économies annuelles aux dépens des usagers et des salariés, ne signifie rien d’autre que des chômeurs en plus, des salaires en baisse, des retraites régulièrement amputées. Il signifie aussi de plus en plus de difficultés à se soigner, à voyager au quotidien dans des transports en commun ponctuels et en bon état, à scolariser ses enfants dans de bonnes conditions, à recevoir son courrier ou à accéder aux services postaux, à se trouver bien traité au soir de sa vie en Ehpad ou maison de retraite, etc.
Depuis 2007 et le non-remplacement d’un fonctionnaire sur deux décidé par Sarkozy, les attaques n’ont pas cessé. L’État-patron organise la dégradation des conditions de travail de ses employés, titulaires ou précaires de plus en plus nombreux. Il baisse les salaires grâce au gel du point d’indice et à l’instauration d’un jour de carence en cas d’arrêt maladie, ainsi qu’en tentant d’introduire une rémunération dite au mérite qui a le même objectif.
Les salariés du secteur public, comme l’ensemble de la classe ouvrière, sont dans la cible de Macron et Philippe, qui agissent en mandataires du grand patronat. Les cheminots ont riposté aux attaques qui les visent, approuvés, soutenus et en certaines occasions suivis par de nombreux autres travailleurs. Le 22 mai doit être une nouvelle étape, le plus massive possible, de cette réaction ouvrière.
                                    Viviane LAFONT (Lutte ouvrière n°2598)



L'A15 encore fermé ce jeudi dans la direction Province-Paris sur le viaduc de Gennevilliers. Dernière sortie Argenteuil 2 et la bretelle qui conduit à la N311. Prendre celle-ci pour contourner le centre d’Argenteuil.

samedi 12 mai 2018

Etudiants, examen des conditions d’examen : ça bloque


Avec Parcoursup, ça bloque pour que ça ne bloque pas à l’avenir  !


Des examens (Nanterre, Tolbiac...) avaient été délocalisés hier à la Maison des examens à Arcueil ou encore à Rungis… 

Deux photos de Rungis hier


mercredi 9 mai 2018

Air France : le PDG débarqué par le personnel. Un article de notre hebdomadaire Lutte ouvrière à paraître.


Air France : le PDG débarqué par le personnel

Par 55,44 % des voix et à plus de 80 % de votants, les 46 771 salariés d’Air France ont dit non à leur direction. Malgré des semaines d’intense propagande interne, de pressions de l’encadrement et de pilonnage des médias, les dirigeants de la compagnie et tous ceux qui les soutenaient viennent de prendre une gifle magistrale.
Après sept ans de gel salarial, 10 000 emplois supprimés, la suppression de jours de repos, l’augmentation des vols et rotations pour les navigants, la direction d’Air France voulait faire approuver des augmentations dérisoires : d’abord 1 % sur 2018, puis un maximum de 7 % étalés sur quatre ans, le tout assorti d’une clause antigrève.
Pour convaincre le personnel qu’il devait voter oui, et qu’en tout cas l’opinion publique n’était pas de son côté, les médias ont fait chorus avec la direction de la compagnie. Ils ont dénoncé comme des irresponsables et des privilégiés ces salariés qui faisaient grève pour 6 % de rattrapage salarial, alors que beaucoup ne gagnent pas 1 400 euros net. Et ils ont joué l’air de la division, en prétendant que les pilotes ont des intérêts opposés à ceux du reste du personnel et que, si elles font grève, les autres catégories se mobilisent peu.
Tout ce petit monde, et d’abord le PDG qui avait mis sa démission dans la balance, était si sûr de son coup que, le 4 mai, au dernier jour du scrutin, Aujourd’hui en France voyait « les salariés pencher pour le oui » et que Libération tablait sur « l’hypothèse probable où le oui l’emporte ».
Pourtant, malgré leur mépris de classe pour des travailleurs qu’ils imaginent corvéables et malléables à merci, ceux d’Air France n’ont pas marché.
Car trop c’est trop. Et depuis trop de temps. Pour ceux des ateliers qui, fin 2016, avaient fait grève spontanément à plusieurs milliers contre un énième plan d’externalisation, forçant ainsi la direction à reculer. Pour ceux qui, depuis fin 2017, réclament ici et là des revalorisations de carrière, en clair des hausses de salaire. Et, bien sûr, pour tous ceux et toutes celles qui, depuis février, exigent 6 %. Cette revendication unit, toutes catégories confondues, mécanos-avion et hôtesses, bagagistes et pilotes en un même mouvement, au grand déplaisir d’une direction qui compte d’habitude sur le corporatisme pour diviser et donc pour régner.
Au fil d’une quinzaine de jours d’arrêt de travail, beaucoup n’ont fait que quelques heures de grève, voire n’en ont fait aucune, car ils pensaient ne pas en avoir les moyens ou que la direction ne céderait pas. Mais ils n’en voyaient pas moins celle-ci comme leur ennemie. Et puis, les premières grèves pour les 6 % ayant coïncidé avec le début du mouvement à la SNCF, il y a le sentiment diffus qu’à Air France comme ailleurs patronat et gouvernement mènent une attaque générale contre les travailleurs, et qu’il faut au moins montrer qu’on ne l’accepte pas.
C’est tout cela qui est revenu dans la figure de la direction d’Air France le 4 mai. Et dès le lendemain les travailleurs affichaient leur satisfaction de lui avoir infligé un camouflet.
Le PDG Janaillac est démissionnaire depuis qu’il a été envoyé sur les roses au propre comme au figuré, lui qui se vante de posséder (entre autres) une propriété en Dordogne assez vaste pour abriter des centaines de rosiers. En attendant qu’il se taille pour aller les tailler, son ultime appel à ne pas faire grève les lundi 7 et mardi 8 mai a fait plouf.
La direction et le gouvernement voudraient utiliser le départ du PDG et le choix de son remplaçant pour semer l’inquiétude en serinant qu’Air France « est en grand péril ». C’est qu’ils espèrent ainsi faire oublier à ses salariés ce qui reste pour eux l’essentiel : obtenir l’augmentation de salaire de 6 % demandée.

                                            Correspondant LO (Lutte ouvrière n°2597)



mardi 8 mai 2018

22 mai, fonction publique d’Etat, fonction publique hospitalière, Fonction publique territoriale, tous en grève !i,


Tous en grève le 22 mai !

 
Ce n'est pas en faisant grève un jour tous les 22, que l'on fera céder le gouvernement

Pour information ci-dessous, l’appel intersyndical à la grève. Mais avant de parvenir à « dialogue social respectueux des représentants des personnels » il faut construire le rapport des force nécessaires pour rejeter les mauvais coups qui se préparent… c’est-à-dire la grève, solide, forte, massive, déterminée… 


samedi 5 mai 2018

Edouard Philippe, un premier ministre aux oreilles fragiles et certainement pas téméraire



Edouard ! Edouard ? Edouard ! Tu te caches où ?

 
Il ne doit pas trop aimer le contact

Pendant 3 jours, le premier ministre a sillonné le département du Cher à la rencontre principalement de... patrons et d’élus locaux.
A l’hôpital de Bourges où le personnel des urgences, totalement débordé, a fait récemment plusieurs journées de grève pour exiger de l’embauche et des ouvertures de lits, pas de visite pour Edouard Philippe.
A Vierzon, jeudi 3, les cheminots de Vierzon en grève, rejoints par ceux d’Orléans, les travailleurs licenciés de l'entreprise Carrier de Romorantin et des travailleurs de plusieurs entreprises locales, se sont retrouvés devant la gare de Vierzon pour défendre leurs revendications.
Un petit quart d’heure de défilé, pas plus, avant que les 400 manifestants soient tenus à distance du centre-ville et de la mairie où le premier ministre était reçu par le maire PCF. Les travailleurs en lutte n'ont rencontré que des CRS largement déployés dans la ville pour délimiter un périmètre restreint où Edouard Philippe a pu serrer des mains en toute quiétude, loin des slogans qu’il ne saurait entendre.
Mais les manifestants ont mis de l’ambiance, scandant avec les cheminots « cheminots en colère, on ne va pas se laisser faire », et tous sont repartis avec la conviction qu'il faut poursuivre et élargir la lutte.




 

jeudi 3 mai 2018

Violences du 1er mai : un faux radicalisme loin des intérêts du monde du travail


Contre la violence sociale du gouvernement, la force collective des travailleurs

 
C'est là force face au capital

S’affronter à quelques centaines aux CRS et brûler au passage boutiques et poubelles est du faux radicalisme qui, en se substituant aux choix et aux aspirations des travailleurs qui manifestent, est utilisé par le pouvoir pour détourner l’attention des revendications des travailleurs. La force de la classe ouvrière réside dans sa mobilisation collective qui lui donne les moyens de se faire entendre quand elle bloque l’économie.
Plus de 200 000 travailleurs ont manifesté hier pour la journée du 1er mai. Ce qui n’est pas rien. La grève des cheminots continue, celle d'Air France aussi. Elles mettent le gouvernement et le patronat dans un embarras de plus en plus visible. Pour mettre un coup d’arrêt aux attaques gouvernementales et patronale, il faut que la grève s’étende.

mardi 1 mai 2018

Education, la CGT-Education appelle à la grève jeudi 3 mai


Toutes les raisons de faire grève


Extrait. Fin de l’appel



Une assemblée général a lieu dans le Val d’Oise, à partir de 9 heures, Maison des syndicats à Cergy
Une manifestation est prévue à Paris à 12 heures, départ Montparnasse

lundi 23 avril 2018

Retraités, actifs, précaires, privé, public, c’est tous ensembles qu’il faut lutter. Comme à Bayonne


On n'a jamais eu autant de plaisir à aller chez Carrefour !



Ce jeudi 19 avril, la manifestation bayonnaise est sortie des sentiers battus. Sous le regard surpris des clients, en majorité bienveillants, le cortège des manifestants s’est engouffré dans la galerie marchande du centre Carrefour BAB2. Un joli pied de nez à la direction de Carrefour en soutien aux grévistes Carrefour qui se battent pour leur emploi.
À la tête du cortège, les cheminots, environs 300, suivis par les salariés de Dassault, les électriciens et gaziers, les hospitaliers, les postiers, les salariés de Castorama et Carrefour, les retraités et bien d'autres. Il y avait de l’ambiance. Pour bon nombre de salariés, c’était leur première manifestation.
Une démonstration qu'avec les cheminots des travailleurs se rassemblent pour construire la lutte.

dimanche 22 avril 2018

"Retraités, actifs, public, privé, c'est tous ensemble qu'il faut lutter !"


Vous avez dit « convergence des luttes » ?

 
Le 16 mars dernier

Les organisations syndicales de retraités appellent à manifester le … 14 juin prochain. Hausse de la CSG pour des millions d’entre eux, blocage des pensions, baisse des revenus, effondrement des services publics, les retraités ont certes toutes les raisons de se mobiliser.
         Mais c’est uni dans la mobilisation que le monde du travail sera plus fort, et ce n’est pas en organisant des journées de manifestation les unes après les autres que nous y parviendrons.
         De nombreux retraités l’ont compris qui étaient présents dans la rue jeudi dernier.
         Alors que les cheminots sont entrés dans la lutte, c’est maintenant qu’il faut lutter, et non ni à la saint glin-glin ni dans son petit pré carré.

En revanche un bel exemple ci-dessous de ce qu’il faut faire…