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samedi 20 avril 2024

Action : licencié pour quelques euros

Bâtonnets et retours de bâtons nécessaires

 

 

Un salarié du magasin Action de Nogent-sur-Oise a été licencié sans indemnités malgré ses huit ans d'ancienneté et le fait qu'il soit directeur adjoint (avec un salaire de 1 700 euros nets !). Le motif : avoir grignoté un paquet de bâtonnets de mini-saucissons (1,79 euro) et une canette (0,95 euro) sans avoir eu le temps de les déclarer en caisse.

         Ce sont les actionnaires d’Action, dont les dividendes proviennent d’une exploitation brutale des salariés, qu’il faudra faire passer à la caisse.

 

mercredi 6 juillet 2022

Argenteuil, un licenciement parmi les agents territoriaux particulièrement honteux

La municipalité doit revenir en arrière et annuler le licenciement

Lors d’une grève en 2017

Grèves, suicide, le complexe culturel Le Figuier blanc avec sa salle de spectacle et ses cinémas de qualité vit une vie tumultueuse depuis des années. Il vient d’en connaître un nouvel épisode inacceptable. Nous avions évoqué la décision municipale de fermer dorénavant le complexe cinématographique le lundi. Nous apprenons maintenant qu’un des projectionnistes, employé à temps partiel depuis 19 ans, vient d’être licencié, et qu’il quittera ses fonctions sans aucune indemnité (c’est légalement comme cela dans la fonction publique) fin septembre.

         Les habitants d’Argenteuil, qu’ils fréquentent ou non les cinémas du Figuier blanc ne peuvent accepter cette décision municipale. Ils doivent le faire savoir.

         Licencier un agent « contractuel » à Argenteuil en poste depuis près de 20 ans est ignominieux.

         Il reste à la municipalité à annuler dans les meilleurs délais cette décision. DM

 

mercredi 29 juin 2022

Éducation nationale, condition ouvrière, cancer, AESH licenciée pour… maladie

Et ils s’intitulent en charge d’«éducation » ?

 

 

Marylène Le Métayer, est Accompagnante d’élèves en situation de handicap (AESH) depuis six ans au lycée Dupuy-de-Lome à Brest.

         Agée de 53 ans, elle vient de se faire signifier sa non-reconduction de contrat pour la rentrée 2022-2023 : l’éducation nationale lui reproche une absence d’un mois et demi cet hiver.

         Et pour cause, elle est atteinte d’un cancer très agressif depuis mars 2021 pour lequel elle a été reconnue travailleuse handicapée à 80%.

          Priver une travailleuse malade de son emploi, on ne peut être plus cruel.