Affichage des articles dont le libellé est violences policières. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est violences policières. Afficher tous les articles

jeudi 13 mars 2025

Meurtre de Nahel : ceux qu’un procès dérange

 

L’État des exploiteurs dans toute sa vérité

 

Nanterre, le 29 juin 2023

La justice a décidé qu’il y aurait un procès pour meurtre contre le policier qui avait tué Nahel à Nanterre en juin 2023. Immédiatement, le préfet de police de Paris Nunez, le ministre de l’Intérieur Retailleau et le ministre de la Justice Darmanin ont affirmé leur solidarité avec la police et désavoué le parquet.

         Avec de tels avocats, les fous de la gâchette en uniforme ne peuvent que se sentir tout-puissants !

vendredi 4 octobre 2024

Papeete : violences policières sous les tropiques

Entrainées au mépris des pauvres

 

 

En Polynésie, dans un quartier dit sensible de Papeete, quatre policiers ont frappé une personne handicapée en fauteuil roulant. Après avoir soulevé son fauteuil pour le faire chuter, ils l’ont ensuite frappé à la tête alors qu’il était à terre.

         Ce n’est que parce qu’une vidéo de la scène a été diffusée sur les réseaux sociaux que ces policiers ont dû revenir sur leur première déclaration dans laquelle c’étaient eux les victimes d’un handicapé.

         Sous toutes les latitudes les forces de l’ordre sont formées et entrainées au mépris des pauvres pour au besoin, les mater par la force.

 

jeudi 26 septembre 2024

Police, mort de Steve : ni responsables, ni coupables ?

L’État ne reconnaîtra jamais ses drames, ou dans 70 ans

 

 

Arguant qu’il n’aurait pas donné l’ordre de lancer des gaz lacrymogènes, un tribunal a prononcé la relaxe du commissaire Chassaing, jugé pour la mort de Steve Maia Caniço, repoussé et noyé dans la Loire lors d’une charge policière brutale sur des quais près de Nantes lors de la fête de la musique en 2019.

         La mise en examen s’était arrêtée au commissaire - qui a poursuivi sa carrière - exonérant d’emblée le préfet de Loire-Atlantique de l’époque et son directeur de cabinet.

         Ce n’est certainement pas l’État, sa hiérarchie policière et sa justice, qui débarrasseront la société des brutes en uniforme.