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jeudi 26 septembre 2024

Argenteuil, quartier du Val-Notre Dame, se garer, la croix et la bannière !

 

Qui suit l’affaire ?

 


 

 

Se garer au Val-Notre Dame près de l’Espace Nelson Mandela n’a jamais été spécialement facile. La situation s’est compliquée lorsque la municipalité a décidé de neutraliser la moitié de l’impasse sise près du stade et où se trouve le restaurant La Mamma. Aujourd’hui, elle se complique encore davantage avec l’installation du service des associations de la Ville à Mandela, et la neutralisation d’une partie du parking lelong de la rue de la Glacière à cause d’une transformation des lieux.

         Stade, espace Mandela, marché des mercredi et samedi, que compte faire la municipalité pour stopper cette descente aux enfers pour les voitures et leurs conducteurs qui veulent se garer ? DM

lundi 29 avril 2024

Argenteuil, des voies pour voitures, pas pour les poules et les accidents. La responsabilité de l’État est certes engagée mais aussi celle de la municipalité…

Un aspect du recul drastique des services publics utiles à la population

 

 

Comme nous le développons dans l’article de notre hebdomadaire Lutte ouvrière ci-dessus, la responsabilité de l’État est essentielle sur l’état des routes et des voies rurales ou urbaines. Pour ces dernières, « l’État s’est en effet déchargé sur ces collectivités locales de l’entretien de l’essentiel du réseau routier sans pour autant leur en donner les moyens. » On peut le constater à Argenteuil où il y a de très nombreuses voies dans un état déplorable.

         Le nombre de nids de poules est infini, et quand il y a une velléité de les supprimer, ce sont les effectifs qui manquent. La photo ci-dessus prise rue des écoles samedi soir indique les risques que la nuit des voitures pourraient prendre en l’empruntant, au vue des conséquences d’un travail non terminé.

         Ce que l’on doit reprocher à la municipalité est qu’au-delà de rares déclarations verbales sur le désengagement de l’État, elle accepte de gérer cet état de fait, quand elle ne privilégie pas certains quartiers à sa convenance.

         L’État ne peut pas distribuer des milliards et des milliards au grand patronat sans réduire les budgets des services publics utiles à la population. C’est là qu’est le problème principal. Aux travailleurs et aux habitants de le résoudre. DM