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jeudi 20 avril 2017

Nathalie ARTHAUD et les militants de Lutte ouvrière en campagne. J-3


Nathalie ARTHAUD :

« Ce qu'il manque, c'est idéal, un projet collectif. Pour imaginer une nouvelle société » 

Dans les médias 

jeudi 20 avril
à 07h50
Radio Classique : Interview de Jean-Pierre Mercier
à 09h00
LCP : Interview de Jean-Pierre Mercier
à 19h30
LCP : Interview de Jean-Pierre Mercier
A 20 heures
France 2 : L'émission politique, avec tous les candidats à la présidentielle
vendredi 21 Avril
à 19h40
BFMTV : Interview de Nathalie Arthaud

  

Notre programme : un programme pour les luttes à venir



Un programme pour les luttes à venir

Notre programme n’est pas un catalogue de promesses qu’un vote suffirait à faire appliquer. Constitué des objectifs nécessaires à la survie des travailleurs, sa mise en œuvre nécessite de s’en prendre aux profits de la bourgeoisie et de remettre en cause sa domination sur l’économie. C’est un programme de lutte.
Contrairement aux autres candidats, nous ne considérons pas le marché et la concurrence comme des lois de la nature, mais comme les bases d’un système qui ne fonctionne que pour une minorité.
Nous sommes pour mettre fin, par l’expropriation de la grande bourgeoisie, à la dictature que cette minorité capitaliste exerce sur l’économie. La société devrait être organisée sur des bases collectives. Les grands moyens de production, les usines, les banques, devraient appartenir à l’ensemble de la société, afin de les faire fonctionner dans l’intérêt de tous et pas pour le profit d’une petite minorité.
Il ne suffit pas d’un programme pour déclencher les luttes nécessaires pour renverser le rapport de forces dans la guerre sociale que la bourgeoisie mène contre les travailleurs. Mais, lors des prochains coups de colère, lors des prochaines mobilisations, les travailleurs devront avoir des objectifs communs, une politique permettant d’unifier leurs combats. Populariser un tel programme, discuter des moyens d’imposer nos intérêts vitaux, se mettre en ordre de marche, au moins dans nos têtes, c’est le début du combat.
Activité militante sur Argenteuil aujourd’hui jeudi au « carrefour Babou », de 16 à 18 heures
Ce dimanche, marché Héloïse

Hôpital, SNCF, La Poste...Services publics utiles à la population ? Nathalie ARTHAUD, "clip" de campagne. A voir absolument

mardi 18 avril 2017

Nathalie ARTHAUD et Lutte ouvrière en campagne J-5


Dans les médias

 

Mardi 18 avril
 
à 15h45
BFM TV : Interview de Nathalie Arthaud
 
à 19h00
France 5 : Nathalie Arthaud est l'invitée de l'émission C à vous
 
 
Mercredi 19 avril
à 07h50
France Inter : Interview de Nathalie Arthaud
 
à 07h50
RFI : Interview de Jean-Pierre Mercier
 
A 20 heures
France Info TV : Interview de Jean-Pierre Mercier
 

 

Notre programme pour les luttes futures

 

Interdiction des licenciements, répartition du travail entre tous

Il faut en premier lieu stopper l’hémorragie d’emplois en interdisant les licenciements et les suppressions d’emplois, en commençant par les entreprises qui font des bénéfices.
Le chômage est une catastrophe sociale, qui touche déjà six millions de personnes dans le pays et qui menace tous les travailleurs. Ce chômage de masse entraîne vers la misère, exclut et marginalise une partie des familles populaires. Il pèse sur l’ensemble de la société, pousse à l’individualisme en mettant les travailleurs en concurrence entre eux. La pression du chômage entraîne aussi la multiplication de formes d’emploi de plus en plus précaires, de l’intérim généralisé aux travailleurs indépendants ou autoentrepreneurs condamnés à des paies de misère sans même les quelques garanties attachées au salaire.
Le chômage n’a rien d’inévitable. Ce n’est pas le travail qui manque. Le chômage résulte de la guerre que livre le patronat pour maintenir et augmenter ses profits. Le trust pharmaceutique Sanofi vient de distribuer 6,6 milliards d’euros à ses actionnaires, après avoir supprimé 4000 emplois en sept ans, et il annonce la suppression de 650 emplois de plus Il faut retirer leur pouvoir de nuisance à ces grands groupes, en les contraignant à ne supprimer aucun emploi, sous peine de réquisition sils ne sy plient pas.
Parallèlement, il faut aussi créer des millions d’emplois pour les jeunes qui arrivent sur le marché du travail et pour tous ceux qui n’ont droit qu’à quelques heures de boulot ici et là. C’est possible immédiatement, en imposant que le travail soit réparti entre tous. Ce serait une mesure salutaire pour l’ensemble du monde du travail.
En utilisant l’argent actuellement versé à fonds perdus aux entreprises, l’État devrait embaucher massivement dans tous les services publics où le personnel manque cruellement, dans les hôpitaux, dans l’éducation, les transports… Il manque des millions de logements dans ce pays. L’État devrait les construire en embauchant lui-même le personnel nécessaire, sans passer par les capitalistes du bâtiment. Il devrait ainsi les louer à prix coûtant et garantir des loyers accessibles aux classes populaires.
Dans toute la société, il y a un grand nombre de besoins à satisfaire et donc autant d’emplois à créer. Faire disparaître le chômage, c’est possible et nécessaire

mardi 11 avril 2017

Nathalie ARTHAUD et Lutte ouvrière en campagne J-12



Allez voir toutes les vidéos de Nathalie. Cela ne durera pas. Profitez-en !

http://www.lutte-ouvriere.org/






Sur le blog de Nathalie

                           Avec les travailleurs de Vivarte

Vendredi 7 avril, j’ai apporté ma solidarité aux travailleurs de Vivarte rassemblés devant le siège social du groupe à Paris. Philippe Poutou y était aussi et, puisque le JDD a inventé un tissu de mensonges à ce propos, je précise que nous nous retrouvons souvent dans ce genre de circonstances car nous menons des combats similaires et qu’il n’y a que des journalistes obsédés par le cirque électoral pour penser que nous nous considérons comme des adversaires !

Dans les différentes enseignes de ce groupe, (NafNaf, la Halle, André, San Marina…) des centaines d’emplois sont menacés. Entre 2015 et 2016, Vivarte a déjà fermé près de 300 magasins et supprimé plus de 3 600 emplois parce que le fond d’investissement qui a racheté le groupe dit perdre de l’argent. Dans le même temps, en 2016 Vivarte a touché 14 millions d'euros au titre du CICE et réalise quand même 2,2 milliards d’euros de chiffre d’affaires. Il sait d’ailleurs trouver de l’argent quand il se sépare de ses PDG, puisque l’un deux ayant quitté le groupe en octobre 2015 serait parti, selon les informations du Parisien avec un chèque de trois millions d’euros !

Il est certains que ce ne sont pas les salaires des employés et des gérants de magasins qui ont mis le groupe en difficulté car ils sont au minimum du minimum. Alors où est passé l’argent ? Par quelles manœuvres Vivarte a siphonné les trésoreries de ces différentes enseignes ? Voilà ce que tous les salariés seraient en droit de savoir !

De façon générale, tous les salariés devraient pouvoir connaître ce que devient le fruit de leur travail. Car à écouter les dirigeants, il n’y a jamais d’argent pour les salaires, les emplois ou pour investir mais au final ils assurent des millions et des millions aux grands actionnaires.

La réalité est que cet argent nous échappe. Il va dans les mains d’une minorité de capitalistes qui jouent au Monopoly avec nos vies, nos emplois, et avec nos salaires. « Et avec notre santé » a ajouté une travailleuse présente au rassemblement.

Alors oui, la situation des salariés de Vivarte ne peut que nous conforter dans la nécessité de mettre en avant l’interdiction des licenciements et le droit pour les travailleurs de divulguer toutes les informations dont ils disposent pour faire la transparence sur les décisions et les comptabilités des entreprises.

Ce sont des objectifs que l’ensemble de la classe ouvrière doit reprendre et imposer collectivement, sans quoi beaucoup de travailleurs se retrouveront mis au pied du mur comme le sont aujourd’hui les salariés de Vivarte, mais aussi ceux de Mim, de Madrange et de nombre d’autres entreprises.   

Alors je tenais à leur dire « Bravo pour votre lutte ». Elle ne peut que conforter le combat que nous avons tous à mener.  

Ce mardi 11 avril
à 06h20
France Inter : Interview de Nathalie Arthaud
à 08h30
France Info TV : Nathalie Arthaud est l'invitée de la matinale
à 18h30
Public Sénat : Nathalie Arthaud est invitée dans l'émission L'épreuve de vérité
à 19h15
Radio Classique : Interview de Nathalie Arthaud
Mercredi 12 avril
à 08h15
France Bleu Île de France : Interview de
Jean-Pierre Mercier
à 08h30
BFM TV : Nathalie Arthaud est l'invitée de Bourdin Direct
à 20h45
Paris Première : Nathalie Arthaud est invitée dans l'émission Zemmour et Naulleau
Jeudi 13 avril
à 08h10
CNews : Interview de Jean-Pierre Mercier


Nos positions




Ecologie

À chaque campagne électorale, les candidats promettent des mesures pour faire face à l’urgence écologique et pour organiser la transition vers les énergies renouvelables. Chaque gouvernement organise sa grand-messe sur l’environnement ou le climat, du Grenelle de l’environnement sous Sarkozy à la COP 21 sous Hollande.

Mais il en va du climat et de l’environnement comme du chômage: tous les politiciens sengagent à trouver des solutions mais, une fois au pouvoir, ils sont bien incapables dempêcher les catastrophes annoncées, pour la simple et bonne raison que ce sont les grands groupes capitalistes qui détiennent les manettes de l’économie. Ce sont leurs décisions d’investissement qui structurent l’organisation de la production, de l’énergie, des transports, du BTP.

Tant que l’on accepte cette mainmise sur l’économie, on peut discourir sur la sauvegarde de la mer ou sur les énergies renouvelables, mais on parle pour ne rien dire. Les États se sont engagés à réduire les émissions de carbone mais, refusant d’imposer des mesures contraignantes aux industriels, ils se sont contentés de mettre en place un marché des droits à polluer que peuvent s’échanger les capitalistes. Pour que les capitalistes acceptent de se préoccuper de l’écologie, il faut que cela leur rapporte!

L’écologie fait maintenant partie de la stratégie publicitaire de tous les groupes capitalistes: cest à qui sera le plus «vert», le plus soucieux de développement durable. Certains fabricants en ont fait un argument de vente face à leurs concurrents. Pour dautres, l’écologie a été loccasion de trouver de nouveaux marchés, dans la construction de panneaux solaires ou d’éoliennes. Mais la révélation des fraudes au diesel organisées par Volkswagen et tous les autres constructeurs automobiles montre les moyens que les capitalistes sont capables de mettre en œuvre quand une réglementation fait obstacle à leurs profits.

Les politiques écologiques des gouvernements se réduisent en définitive à créer des taxes qui pèsent sur le budget des plus pauvres et à distribuer des subventions et des aides aux entreprises au nom de la transition énergétique, comme ils le font au nom de la compétitivité ou de l’emploi.

Même la question du nucléaire ne peut se discuter sans mettre en cause l’organisation capitaliste de l’économie. Le principal danger du nucléaire ne réside pas dans la technique elle-même mais, comme Fukushima l’a montré, dans l’irresponsabilité des entreprises qui la mette en œuvre. Comme tous les autres capitalistes, les industriels du nucléaire mènent des politiques de réduction des coûts et ils sont prêts à économiser sur la sécurité pour augmenter leurs profits. Même si l’État reste son actionnaire majoritaire, EDF fonctionne avec la même logique, supprimant des emplois pour dégager des profits, ayant recours massivement à la sous-traitance et maintenant l’opacité sur l’état de ses installations.

Sur toutes les questions écologiques, une politique concertée et planifiée à l’échelle de la planète serait nécessaire. Or le propre du capitalisme est que rien n’est organisé, concerté, anticipé et planifié à l’échelle de la société. C’est le règne de la concurrence et de l’intérêt particulier au détriment de l’intérêt général. Seules les lois du marché et la recherche du profit inspirent les décisions des capitalistes.

Les problèmes écologiques illustrent l’urgence qu’il y a à enlever les leviers de commande de l’industrie, des transports, aux groupes privés. L’urgence qu’il y a à supprimer le secret industriel, pour permettre à chaque salarié de rendre publics les malversations ou les risques pour la santé publique ou l’environnement dont il a connaissance, sans risquer d’être licencié pour divulgation de secrets professionnels. L’urgence qu’il y a à organiser l’économie d’une façon rationnelle, planifiée, pour répondre aux besoins du plus grand nombre tout en préservant l’environnement.



Voir page suivante :

Le patron de "Paul" : il vote pour ses "gens" ?

Sur les législatives à Argenteuil 

Et le bienfait social des transports en commun gratuits 



vendredi 7 avril 2017

ATSEM : Nathalie ARTHAUD répond au collectif "ATSEM DE FRANCE"


Nathalie ARTHAUD a reçu la lettre ci-dessous qui a été adressée aux candidates et candidates à l’élection présidentielle. Nous la reproduisons ainsi que la réponse de Nathalie ARTHAUD 

 ATSEM de FRANCE
Collectif citoyen. 

                               Madame la candidate, Monsieur le candidat. 

 À ce jour, vous vous lancez dans une campagne électorale qui,si tout se passe comme vous le souhaitez, vous permettra d'être élu grâce aux votes de nos concitoyens.
 Nous, Collectif ATSEM DE FRANCE vous interpellons aujourd'hui et vous envoyons ce dossier afin de vous sensibiliser à ce qui nous amène vers vous .
 Nous sommes des agents territoriaux, environ 50 000 sur tout le territoire national, nous exécutons chaque jour dans les écoles maternelles les missions du service public de l'état, .
 Nous sommes ce que l'opinion public nomme communément, les dames de services, les tatas pour certains.
 Nous sommes en réalité des professionnelles de la petite enfance, au service de l'éducation nationale mais employées par les municipalités et les territoires.
 Je parle au féminin car ce métier est représenté par 99% de femmes.
 Diplômées de la petite enfance, CAP en poche ,et également pour la plupart titulaire du concours d'ATSEM de la fonction publique.
 Mais voilà que nous sommes ,depuis plusieurs années, au cœur des changements du fonctionnement de l'école publique.
 Les diverses réformes de l'éducation nous ont plongées au centre de ces bouleversements.
 Notre métier ?
 Etre au plus près des enfants dans une classe maternelle auprès de l'enseignant que nous devons assister pour la pédagogie, l'éducatif, l'apprentissage de l'autonomie, le vivre ensemble, l'apprentissage à devenir élève, mais également les soins, le quotidien des enfants de 2 à 5 ans, voilà notre métier et ce devrait être une évidence pour nos employeurs comme pour l'éducation nationale.
 Mais voila, l'éducation nationale ne veut pas nous reconnaître une réelle place et refuse d'admettre nos compétences pédagogiques tout en demandant notre présence permanente auprès de l'enseignant.
 Mais voila aussi que nos employeurs, les maires, ne reconnaissent pas  non plus ces compétences pédagogiques car nous sommes pour eux à la fois des agents d'entretien, des agents de cantine et maintenant des animateurs depuis la réforme des rythmes scolaires !
 Par ailleurs,le texte actuel de la loi est flou quand au nombre d'ATSEM dans les écoles, nous réclamons pour le respect de ce métier et pour assurer la sécurité des enfants de la petite section à la grande section de maternelle,1 ATSEM par classe.
 Cela fait des années que les conditions de travail de ces agents ( femmes) se dégradent, parfois 1 ATSEM pour 2 ou 3 classes, des missions divergentes selon les besoins municipaux.
 Cette double hiérarchie représente beaucoup de malentendus et d'inconfort sur le terrain.
 Beaucoup d'adjoints techniques sont sur des postes d'ATSEM ce qui engendre également des tensions, des différences de salaires par exemple.
 Beaucoup de ces emplois sont précaires, mi temps, contractuels, 80%.....
 Et pourtant ce métier est un atout pour l'école maternelle, car nous sommes de réelles professionnelles de ce travail particulier qui demande, patience, rigueur et vocation.
 Nous vous interpellons aujourd'hui afin de vous sensibiliser à notre cause, nous avons besoin de soutien de votre part, afin de réformer des textes qui datent de plus de 20 ans, et enfin faire reconnaître l'évolution incroyable qu'a subi notre métier.
 De notre côté,nous avons réussi à changer et à nous adapter aux besoins de l'école maternelle, nous avons appris.
 Nous demandons aux femmes et hommes politiques que vous êtes, de valoriser ces changements et de nous suivre dans notre combat. 

 Collectif ATSEM DE FRANCE,

 Regroupant à ce jour plus de 5500 membres ATSEM.

 Très actifs sur les réseaux sociaux, Facebook,tweeter,Instagram.
 

La réponse de Nathalie ARTHAUD : 

Vous avez bien voulu m’alerter sur les problèmes que votre profession rencontre, en termes d’effectifs et de conditions de travail, de rémunération et aussi de considération. Je tiens tout d’abord à vous dire que je ne serai pas élue et que, si je me présente, c’est pour populariser un programme de lutte dont le monde du travail a besoin pour cesser de subir les conséquences de la crise économique. Et à ce titre je suis entièrement solidaire et partie prenante de vos revendications et de la lutte que vous menez depuis plusieurs mois.
 Recevant le 13 février un rapport sur les conditions de travail des Atsem, Annick Girardin, la ministre de la Fonction publique, n’a répondu en rien à vos attentes tout en vous adressant quelques belles paroles.
Les Atsem sont indispensables à l’accueil des enfants en maternelle. Mais il n’y en a même pas une par classe. La ministre n’a évoqué aucun recrutement, préférant parler de « métier noble » qu’exercent ces « secondes mamans (…) séchant les grosses larmes » des enfants !
En réalité, la ministre n’a prêté attention aux Atsem, reconnaissant « des conditions de travail parfois extrêmement difficiles » et « un manque de débouchés et de perspectives », que parce que vous vous êtes mobilisées au cours de deux journées de grève, en décembre et en février. En ce qui concerne vos conditions de travail, la ministre a promis une étude, c’est-à-dire rien, et pour les salaires rien non plus. L’augmentation minable de 0,6 % du point d’indice au 1er février, c’est-à-dire 25 centimes par jour, est tout ce que le gouvernement accorde aux Atsem.
Comme tous les salariés de la catégorie C de la Fonction publique, les Atsem ne se voient proposer comme évolution qu’un hypothétique concours qui, à condition d’y être reçu, pourrait mener à un autre métier classé en catégorie B, un peu mieux rémunéré.
Jusqu’au bout, ce gouvernement ne veut rien lâcher au bénéfice des travailleurs. Et le prochain ne fera pas mieux en la matière, sauf à le lui imposer par la lutte !
Soyez assurées de tout mon soutien dans votre combat.

                                                Nathalie Arthaud