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jeudi 25 mai 2023

La Fête de Lutte ouvrière à Presles ce week-end, un grand moment du combat politique pour changer le monde

 

Avec Nathalie Arthaud, Jean-Pierre MERCIER,  et tous les militants de Lutte ouvrière

 

 

Les deux discours de Nathalie ARTHAUD auront une résonnance toute particulière cette année pour évoquer la situation actuelle, tant dans le pays qu’à l’échelle de la planète, pour revenir sur le mouvement contre la réforme des retraites, mais aussi sur la dynamique de militarisation et d’armement actuelle. Les deux interventions de Nathalie auront lieu les dimanches et lundi de la fête, à 15 heures. Elles méritent d’être écoutées pour entendre nos perspectives. Le discours de lundi évoquera à n’en pas douter la situation désastreuse de Mayotte où des pauvres s’affrontent à des pauvres, des haines encouragées par un État et des démagogues.

 

         La grande majorité des amis de Lutte ouvrière d’Argenteuil vont se retrouver à Presles ce week-end. Ils seront nombreux place de la Guinguette, en particulier au stand de L’hindoustand, non loin du stand champagne. Pour ma part, je serai plus loin, au Théâtre de verdure, à côté du « château-librairie ». Venez me voir.

 

Trois jours exceptionnels

 

Consultez le programme :

https://fete.lutte-ouvriere.org/

 


samedi 24 décembre 2022

Disparition d'un camarade. Militer pour faire avancer la planète : un beau sens donné à sa vie. La disparition d'un camarade de combat

 

La disparition d’un vrai militant fidèle. Une discussion qui a beaucoup compté pour moi

 


Je l’appelais Gordon. Il vient de disparaître. Je savais que ce militant de Lutte ouvrière était plus âgé que moi, qu’il était malade, et qu’il avait milité à l’usine Thomson-CSF de Bagneux, avant 1968 je crois. Meetings ou fêtes, nous nous rencontrions parfois, décennie après décennie, et je tenais toujours à le saluer. Car malgré le fait que nous ne croisâmes plus véritablement, ce militant avait compté pour moi.

         J’ai connu l’ancêtre de Lutte ouvrière, Voix ouvrière, à l’automne 1967 alors que j’étais à l’école normale d’instituteurs de Versailles. Double bonne pioche, j’allais vivre les évènements de Mai 68.

         Les années suivantes, j’allais approfondir les idées communistes et trotskystes. J’étais toujours interne et je faisais le « mur » pour assister aux meetings de Lutte ouvrière à la Mutualité à Paris. À l’issue d’un de ces meetings il m’a été proposé d’être raccompagné en voiture par un militant de Lutte ouvrière qui devait passer par Versailles. C’était Gordon.

         Pendant le temps du trajet, nous avons parlé de choses et d’autres. Nous en sommes venus à discuter de l’engagement. Militer pour renverser le capitalisme et faire avancer la société était faire œuvre utile et donner un sens à sa vie.

         Cette discussion m’a beaucoup marqué, je ne l’ai pas oubliée. Gordon n’a jamais renoncé à « donner un sens à sa vie » qui soit utile à tous les habitants de la planète d’aujourd’hui et de demain. Et cela jusqu’au bout. DM

lundi 12 décembre 2022

Congrès de Lutte Ouvrière : une motion sur la guerre en Ukraine

                                                              Communiqué

07/12/2022

Le congrès annuel de Lutte ouvrière qui s’est tenu les 3 et 4 décembre en région parisienne, a été largement consacré à la situation internationale, l’aggravation brutale de la crise de l’économie capitaliste et aux menaces d’une guerre généralisée. Il a aussi fait le bilan de notre activité. À propos de la guerre en Ukraine, le congrès a voté à l’unanimité la résolution suivante :

« La guerre en Ukraine opposant les puissances impérialistes de l’OTAN à la Russie avec la peau du peuple ukrainien, mais aussi celle du peuple russe, menace le monde entier d’une déflagration généralisée.

Quels que puissent être la concrétisation future de cette menace et le cheminement qui y mène et quels seront les camps en présence, ce sera une guerre de la bourgeoisie impérialiste contre les peuples embrigadés comme chair à canon.

Pour éviter la guerre, les peuples ne peuvent pas compter sur la bourgeoisie impérialiste, ses hommes politiques, ses états-majors qui, au contraire, préparent méthodiquement l’embrasement général par l’accumulation d’armes et par la mise au pas des populations. Les travailleurs devront s’opposer à la guerre avec leurs moyens et leurs armes de classe, avec comme perspective la transformation de la guerre en guerre civile contre la bourgeoisie.

Les travailleurs conscients doivent refuser le mécanisme guerrier qui se met en place. Comme ils doivent refuser toute forme d’union sacrée derrière leur bourgeoisie et l’État qui défend les intérêts de cette dernière. Ils doivent se méfier de toute la propagande mensongère de la classe dominante, à commencer par la défense de la patrie, alors que derrière ces mots, il n’y a que les intérêts de la classe capitaliste et des plus riches.

Pour ce qui est de la guerre déjà présente en Europe, les travailleurs n’ont à prendre parti ni pour la Russie de Poutine, ni pour l’Ukraine de Zelensky sous la protection des puissances impérialistes. Ils doivent rejeter tous les clans politiques de la bourgeoisie impérialiste, ceux qui tiennent ouvertement un langage guerrier, comme ceux qui prétendent œuvrer pour la paix par des négociations. L’intérêt des travailleurs est de reprendre à leur compte, aussi bien ici, en France, qu’en Russie, en Ukraine, et partout où les masses sont angoissées par les préparatifs de la guerre généralisée, le slogan du révolutionnaire allemand Karl Liebknecht : « L’ennemi principal est dans notre propre pays ».

Seul le renversement du pouvoir de la bourgeoisie et de la domination de l’impérialisme sur le monde peut écarter la menace de la guerre mondiale, assurer des relations fraternelles entre les peuples et créer les conditions de leur collaboration pour le bien commun de l’humanité.

                                                                         3 décembre 2022 »

 

Les prochaines permanences prévues.

-aujourd’hui lundi 12 décembre, de 18 à 19 heures, centre commercial des Raguenets à Saint-Gratien.

-mercredi 14 décembre, de 11 h. à 11 h.30 au marché des Champioux.

 

Achetez notre hebdomadaire Lutte ouvrière (1,5 euro), et Lutte de classe (2,5 euros) n° 227 en vente :

           -au Val d’Argenteuil-nord, bureau de tabac du Val-Nord (le journal seulement) et à la librairie « Le presse papier », avenue Gabriel Péri (On y trouve aussi la LDC) 

 

Dès maintenant, réservez cette date-là : samedi 11 mars 2023

Banquet fraternel 2023 des Amis de Lutte ouvrière à Argenteuil