Les plastiques non recyclés atteignent en revanche des sommets
Au Kenya, un sommet international de l’ONU sur la pollution plastique vient de se tenir. Celle-ci est dramatique : sur plus de 460 millions de tonnes produites en 2019, seules 10 % ont été recyclées, une grande part se retrouvant dans la nature, en particulier dans les océans.
Le sommet se donne pour objectif d’aboutir à un accord signé par un maximum d’États d’ici à 2024. Ce sera au mieux un texte de plus dont se moqueront les multinationales qui dirigent l’économie mondiale à leur profit, ce que constatera peut-être la COP 58 ou la suivante.
La protection de l’environnement est une question bien trop cruciale pour être laissée dans les mains des États et des capitalistes.