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mardi 27 mai 2025

Argenteuil, anciens, chibanis, travailleurs, tous doivent pouvoir obtenir d’être logés.

Des logements et studios sont faits pour être occupés

 

 

Un clin d’œil à ma grand-mère, Louise Riou-Mariette qui, partisane de l’avortement, fut néanmoins une proche de cette Madeleine Meunier-Quinsac, militante de la « démocratie chrétienne » proche de la droite locale d’alors.

La semaine passée, une résidence sociale de 285 logements à loyer modéré a été inaugurée. Elle porte désormais le nom de Madeleine Meunier-Quinsac. «Cette résidence permet un accès accompagné au logement aux anciens occupants du foyer préexistant, mais aussi d’accueillir des salariés nouveaux arrivants. »  J’ai eu beau chercher, je n’ai pas trouvé d’indications sur sa localisation.

         On ne peut qu’approuver ce genre de construction. Mais ce qui a attiré mon attention, c’est le nom de cette ancienne conseillère municipale d’Argenteuil. Cette dame bénéficie également d’une deuxième dédicace, celle de la « Maison des seniors » au sein de la Résidence-autonomie Ambroise-Croizat, 9 rue des Gobelins, dans le centre d’Argenteuil. Sa photo trône dans le hall.

         Ce n’est pas, pour l’essentiel, le fait de cette seconde dédicace qui a attiré mon attention même si les résidents se demandent de plus en plus s’il y a des activités dans cette résidence d’anciens portées par une « Maison des séniors ». Non, c’est le fait que la rénovation de la résidence Croizat n’a toujours pas commencé, et que de très nombreux studios sont vides.

         À l’occasion de l’inauguration, le maire d’Argenteuil a dit : « à Argenteuil, nous faisons le choix d’agir, pas de subir. »

         Certes, la question relève d’ABH, mais aussi d’Argenteuil.

         Alors quand va-t-on commencer à appliquer la belle maxime municipale pour les deux résidences communales d’anciens ? DM

lundi 11 septembre 2023

AB Habitat : les locataires victimes d’une gestion désastreuse, certainement pas dénoncée par la plupart des protagonistes de l’affaire.

 

Ils sont tous responsables

 


« Irrégularités, dysfonctionnements, pilotages financiers défaillants, les qualificatifs ne manquent pas pour définir la gestion du bailleur social d’Argenteuil-Bezons "AB-Habitat" entre 2016 et 2020. L’agence nationale de contrôle des offices de logements sociaux vient de sortir un rapport, encore confidentiel, mais très critique. » C’est ce que l’on peut trouver sur le site de FR3 Ile de France.

         Cette situation, les locataires d’ABH en subissent les profondes conséquences depuis des années, bien au-delà dans le temps que 2016, limite du rapport en question de L’ANCOLS qui porte sur les exercices 2016-2020.

         Le responsable ? L’ancien maire PCF de Bezons, Dominique Lesparre ?

         Et les autres ? En particulier l’ancien maire d’Argenteuil et son successeur actuel pourtant membres d’un conseil d’administration composé au-delà de leur personne de bric et de broc ?

         Un rapport lève le voile sur une situation que la CGT d’AB H n’a eu de cesse de dénoncer, sur laquelle notre blog revient régulièrement depuis des années, en particulier avec ses conséquences sur les locataires qui n’en peuvent plus d’une telle situation qui est loin en 2023 de s’être améliorée pour eux. DM

mercredi 30 août 2023

Argenteuil, AB Habitat : de l’eau souterraine dans les fondations et profond dépit des locataires

La nécessité d’être unis face à l’adversité

 

 

Cela fait maintenant quatre mois que les locataires du bel l’immeuble du XIXème siècle à l’angle de la rue Paul-Vaillant-Couturier et de l’Abbé Fleury ont été obligés par AB Habitat de quitter leur logement et local commercial en péril.

         Ce bailleur dit à tous qui ont été obligés de trouver provisoirement un logement ailleurs ou d’être hébergés par des proches que les travaux vont commencer bientôt. Les sinistrés ne le croient pas.

         Ces travaux risquent d’être très importants, le problème ayant été mis pour le moins en évidence il y a plus d’une dizaine d’années.

         Le degré de confiance porté par les milliers et les milliers de locataires d’ABH ayant fortement chuté ces derniers temps, ceux de la rue PVC ont toutes les raisons d’être inquiets. Leur meilleure garantie est que leur démarche prenne la seule forme principale qui vaille, celle de l’action collective. DM