Pas de quoi se vanter
Le groupe Vinci se vante de n’avoir augmenté les péages de ses autoroutes « que » de 2,7 %. « La plus faible augmentation du secteur » ose -t’il affirmer.
Depuis la privatisation des autoroutes en 2006, Vinci, Eiffage et Abertis, les trois sociétés qui exploitent une grande partie des autoroutes françaises, ont engrangé près de 20 milliards d’euros de bénéfices grâce au racket des automobilistes, avec le soutien de l’État.
Alors, non seulement les autoroutes devraient devenir gratuites, mais il faudrait obliger ces voleurs à rendre l’argent !