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mardi 1 septembre 2020

Lutte ouvrière : à défaut de notre fête interdite, un meeting ouvrier de « retrouvaille »


La fête de Lutte ouvrière interdite

 


Malgré notre volonté et notre détermination à organiser Ia Fête de Lutte ouvrière des 26 et 27 septembre en région parisienne, en tenant compte bien sûr des contraintes sanitaires, celle-ci n’aura pas lieu cette année. La préfecture du Val d’Oise vient de l’interdire. Mais nous pourrons nous retrouver

Vendredi 9 octobre à la Mutualité (24 rue Saint-Victor, Paris 5e – métro Maubert-Mutualité),
à 20 h, pour un meeting de rentrée.

Dans cette période de crise et d'attaques contre les travailleurs, l'affirmation des perspectives communistes révolutionnaires et l'activité militante sont plus que jamais indispensables. 

À Argenteuil, lors de nos activités et nos permanences, également bien des occasions de se retrouver dans les jours et les semaines qui viennent

vendredi 28 août 2020

Fête de Lutte ouvrière des 26 et 27 septembre interdite. L’article qui est consacré à cette interdiction dans le numéro de cette semaine de notre hebdomadaire


Notre fête des 26 et 27 septembre interdite

26 Août 2020

Nous publions dans la version papier de notre journal le décret par lequel la préfecture du Val-d’Oise a décidé de ne pas autoriser la fête de Lutte ouvrière de région parisienne que nous souhaitions organiser les 26 et 27 septembre prochains. Elle ne pourra donc pas avoir lieu et nous le regrettons pour tous nos camarades, militants, sympathisants et amis, pour qui elle aurait été une occasion de retrouvailles, d’échanges et de débats.

 


Les raisons avancées par la préfecture pour nous interdire cette initiative ne nous surprennent pas. Elles ne touchent pas seulement Lutte ouvrière, et chacun sait que nombre de festivals, de foires, de spectacles culturels n’ont pu avoir lieu en France cet été, parfois parce que les organisateurs n’avaient pas les moyens de les assurer dans les conditions sanitaires prescrites, mais aussi le plus souvent parce qu’ils ont été tout simplement interdits. C’est le cas dans le Val-d’Oise, le département où se trouve Presles, où nous savons que d’autres initiatives prévues dans la même période, n’ayant d’ailleurs aucun caractère politique, ont été elles aussi interdites. Il est évident que pour les autorités préfectorales, qui assument une grande part des responsabilités dans l’application des mesures d’urgence sanitaire, le plus facile est d’interdire purement et simplement toute manifestation pouvant réunir un nombreux public, y compris au-dessous de la limite de 5 000 personnes officiellement fixée au niveau national jusqu’au 31 octobre.
On pourrait saluer l’impartialité de ces décisions et ce souci de la santé de la population s’ils ne souffraient pas d’exceptions notables, notamment lorsque les manifestations concernées comportent des enjeux financiers importants. C’est le cas pour certains événements sportifs, tel par exemple le Tour de France reporté à ce mois de septembre. Il y a aussi le cas où elles bénéficient de sympathies politiques évidentes, comme le spectacle du Puy du Fou que le très réactionnaire de Villiers a pu organiser en toute tranquillité bien au-delà de la limite officielle des 5 000 participants ; tout cela sans parler de l’attitude politique générale du gouvernement sur le plan sanitaire, que nous dénonçons régulièrement dans notre journal.
Le fait est aussi que nombre d’entreprises réunissant des milliers de travailleurs ont pu et peuvent continuer de fonctionner, moyennant un engagement purement formel au respect des mesures barrières, contribuant parfois de façon importante à l’extension de l’épidémie. Là aussi, les enjeux économiques priment et cela ne peut nous étonner. Dans une société où la recherche du profit guide une grande partie des décisions, celles-ci ne peuvent être neutres, même quand il s’agit de sauvegarder la santé de tous. Pour les autorités, garantir la possibilité de tenir des manifestations axées autour de la défense des intérêts des travailleurs est moins que jamais une priorité.
Pour une organisation voulant défendre les intérêts de la classe ouvrière, il est pourtant indispensable d’apparaître politiquement, de réunir ceux qui se reconnaissent dans ses idées. Après que le confinement eut empêché la tenue de la fête de Lutte ouvrière prévue fin mai, cette fête de fin septembre devait nous permettre de l’assurer malgré tout, en étant en même temps déterminés à faire le nécessaire pour y appliquer le protocole sanitaire strict. La question n’est pas le respect formel des décisions en vigueur, pour ainsi dire par peur du gendarme, mais la responsabilité vis-à-vis de tout notre public. En tant qu’organisateurs, nous savons que nous pouvions compter sur tous nos camarades pour assurer la tenue de cette fête sans faire courir de risque sanitaire aux participants, en appliquant toutes les mesures de protection nécessaires. Nous continuerons de le faire pour toutes nos initiatives, à commencer par nos camarades d’autres régions qui organisent dans cette même période des fêtes et banquets et qui n’encourent pas jusqu’à présent d’interdiction.
Nous sommes en tout cas déterminés à continuer nos activités politiques, à les élargir, avec les adaptations nécessaires pour tenir compte de la pandémie. Cela est plus indispensable que jamais dans la situation de crise, non seulement sanitaire, mais économique et politique que nous connaissons.

                 Pour Lutte ouvrière, Michel Rodinson, directeur du journal

lundi 24 août 2020

Fête de Lutte ouvrière : interdiction de la fête de Presles. Petit commentaire personnel


Face aux problèmes de l’heure, nos retrouvailles sont imminentes dans tous les cas

 


Voilà ma réaction personnelle après l’interdiction par décision préfectorale de notre fête Lutte ouvrière des « retrouvailles » que nous devions tenir les 26 et 27 septembre prochains à Presles dans le Val d’Oise. Chacun lira avec intérêt ce que notre parti en dira dans les jours qui viennent.
         Bien évidemment, c’est une déception pour tous les militants et nos proches d’Argenteuil. Dès la décision prise en juin de faire cette fête après l’annulation de notre grand rassemblement traditionnel de la Pentecôte, nous nous étions mis au travail pour y inviter les habitués d’Argenteuil de cette fête, et d’autres qui ne la connaissent pas encore, pour qu’ils viennent découvrir ce grand rassemblement militant, mais aussi culturel et fraternel. Nous avions déjà vendu un nombre notable de billets d’entrée.
         C’est donc une déception pour tous qui laisse un petit goût amer, lorsque le gouvernement ferme les yeux sur bien des situations favorables à la poursuite de l’épidémie, quand il ne décide pas d’offrir un passe-droit particulier, comme il l’a fait pour le rassemblement du Puy du Fou (Voir l’article de notre hebdomadaire Lutte ouvrière ci-dessous). Comme me l’a dit une de nos camarades : « Pourquoi ne fait-on pas la fête au Puy du Fou ? »
         Ce rassemblement de septembre se voulait avant tout un grand rassemblement politique autour de nos porte-parole Nathalie ARTHAUD et Jean-Pierre MERCIER. Mais de la politique, il va falloir que nous en fassions, même sans ce rassemblement. Un grand meeting de Lutte ouvrière est déjà prévu le vendredi 16 octobre. Mais bien avant, nous aurons à discuter autour de nous, largement, de la situation difficile pour le monde du travail, qui va devenir rapidement de plus en plus patente dans les semaines qui viennent. Le monde du travail va devoir réfléchir, s’organiser et se défendre. Et l’énergie que nous ne mettrons pas pour cette fête de Presles est disponible. Nous allons l’utiliser pour multiplier les occasions de rencontres et de discussions. Pour ma part, je serai présent dans la semaine qui vient, vendredi lors de notre permanence du centre, samedi à Joliot-Curie, et dimanche prochain, au marché Héloïse. Nous organiserons une réunion interne limitée à 25 participants le jeudi 8 octobre à l’espace Nelson Mandela
                                                   Salut et fraternité, Dominique, et merci à ceux qui m’ont envoyé un message de soutien

 

jeudi 20 août 2020

Argenteuil : vacances collectives pour tous, ce fut une réalité pendant des décennies


Il faut renouer à des séjours collectifs ouverts à tous

 


Marie-José Cayzac a posté le document ancien de la Ville d’ Argenteuil ci-dessus qui faisait le bilan pour l’année 1959 des séjours collectifs organisés par la Ville. Certes on a bien du mal à partir de ce document de savoir si ce bilan concerne seulement les jeunes, ou s’il inclut les anciens qui y sont aussi évoqués. En tout cas, cette année-là, près de 3000 personnes partirent en séjour de vacances pour aller prendre non seulement un bol d’air mais se mêler aux uns et aux autres venant des différents quartiers d’Argenteuil. Pour les jeunes, cela leur permettait aussi de faire un peu plus l’apprentissage de la vie collective.
         Cela était alors le résultat d’une municipalité soucieuse des plus modestes et dirigée par un homme qui avant d’être un édile avait un passé militant, Victor Dupouy.
         Son parti aujourd’hui n’est plus à Argenteuil que l’ombre de ce qu’il fut, même si des militants honnêtes s’en réclament toujours et continuent de militer. Et nous ne savons pas quand un parti communiste, révolutionnaire celui-là, renaîtra et s’il conquerra un jour des municipalités importantes. Si cela était, il renouerait avec ce passé des vacances collectives municipales.
         En tout cas, en cet été difficile 2020, nombre de jeunes et d’anciens d’Argenteuil sont à des années-lumière des vacances collectives de cette époque. Et cela n’est vraiment pas sans conséquence, d’abord pour eux-mêmes, mais également pour tous. DM 

Dernière minute
Nous venons d’apprendre que la préfecture du Val-d’Oise s’apprête à publier un décret d’interdiction concernant notre fête, prévue  les 26 et 27 septembre à Presles,  du fait de la situation sanitaire, et celle-ci ne pourra donc pas avoir lieu.  Nous publierons l’arrêté d’interdiction  dès qu’il nous sera parvenu.

mardi 18 août 2020

Fête de Lutte ouvrière les 26 et 27 septembre 2020


Vive la fête !

Lutte ouvrière souhaite faire sa fête annuelle les 26 et 27 septembre prochain dans le Val d’Oise, faute d’avoir pu la faire à la Pentecôte.
Car la crise sanitaire ne met pas fin aux problèmes politiques et à l‘urgence de défendre, plus que jamais, les idées révolutionnaires. Au contraire.
Personne n’ignore les contraintes sanitaires, ni les restrictions administratives qui peuvent encore évoluer. Mais nous mettrons tout en œuvre pour recréer ce moment de rencontres fraternelles.
À bientôt donc pour nos retrouvailles !

 


Achetez maintenant vite votre billet d’entrée : 10 euros pour les deux jours. Gratuit pour les enfants de moins de 14 ans accompagnés. Achetez-les auprès de nos militants d’Argenteuil et de Bezons.

jeudi 23 juillet 2020

Fête de Lutte ouvrière, Presles, les 26 et 27 septembre


Se retrouver, discuter, faire la fête…



Le confinement n’a pas permis que la 50e fête de Lutte ouvrière ait lieu comme prévu, les 30, 31 mai et 1er juin. Mais ce n’était que partie remise, même si l’organisation de cette fête restera soumise aux autorisations sanitaires.
Les 26 et 27 septembre, on pourra faire la fête, voir des spectacles, discuter devant une exposition ou un bon petit plat. On pourra aussi assister à des débats avec des militants, notamment de l’automobile, de la SNCF, de la santé, acteurs des luttes actuelles, et participer aux meetings que Nathalie Arthaud tiendra au cours de ces deux jours.

À Argenteuil, pour acheter les cartes :
0699499864

Un car gratuit aller-retrour d’Argenteuil à Presles
Le dimanche 27 septembre
9 heures bd Léon Feix devant la mairie
Retour : départ à 19 heures de la fête
Il faut réserver dès maintenant. Les places sont limitées

mardi 14 juillet 2020

Fête de Lutte ouvrière des 26 et 27 septembre : un car d'Argenteuil...

 


Bien sûr, il faudra cette année garder ses distances… 

Comment s’y rendre ?

En train : la gare de Presles-Courcelles est à 900 mètres de la fête. Un minibus fait la navette entre la gare et la fête pour ceux qui le souhaitent (priorité à ceux qui marchent difficilement).
Il y a aussi des autocars gratuits, qui font la navette entre la sortie du métro Saint-Denis-Université (terminus de la ligne 13) et l’entrée de la fête. On évite ainsi les problèmes de stationnement... Les bus circuleront les deux jours pendant les mêmes horaires que la fête, avec un départ toutes les 20 mn environ, et le retour est toujours assuré ! Durée du trajet : 45 à 60 minutes.  

Mais à Argenteuil, nous aurons un car le dimanche 27 septembre. Il est gratuit. Mais il faut s’inscrire dès maintenant. Il faudra être muni d’un masque.
Le car partira à 9 heures devant la mairie d’Argenteuil, boulevard Léon Feix. Il partira à 19 heures précises de la fête. Pas d’arrêt intermédiaire. On s’inscrit vite dès maintenant. 0699499864 ou MDommarie@aol.com

samedi 11 juillet 2020

La fête de Lutte ouvrière des 26 et 27 septembre prochain. Réservez ces dates, achetez la carte d’entrée


Un rassemblement fraternel, un rassemblement du monde du travail



Dans la situation qui s’annonce avec les coups que s’apprêtent à donner au monde du travail les actionnaires des grands groupes financiers et industriels, il faut que nous nous retrouvions vite en septembre. La fête de Lutte ouvrière qui aura lieu 26 et 27 septembre à Presles dans le Val d’Oise nous donne l’occasion de nous retrouver pour réfléchir sur la politique à mener, pour discuter et échanger, cela dans un cadre festif.

Dès maintenant, réservez votre carte d'entrée



Valable pour les deux jours, la carte d'entrée ne vous coûtera que 10€ si vous l'achetez à l'avance et 15€ si vous la prenez à l'entrée. Nous faisons cette remise pour remercier ceux qui nous aident à préparer la Fête en nous donnant les moyens de faire les avances, ou de verser des arrhes aux fournisseurs ou aux artistes. L'entrée est gratuite pour les enfants de moins de 14 ans accompagnés. À l'intérieur de la fête, tous les spectacles, débats, « services », sont gratuits pour tous. Ne sont payants que la nourriture, les objets artisanaux, les livres, les disques, et certaines attractions particulières.

À Argenteuil et dans la région, réservez là au :
0699499864
MDommarie@aol.com

mardi 7 juillet 2020

La Fête de Lutte Ouvrière les 26 et 27 septembre prochains


Une fête, mais aussi, le grand rassemblement politique nécessaire

 


         N’ayant pu avoir lieu à cause de la pandémie à la Pentecôte, la 50e Fête de Lutte Ouvrière aura lieu le dernier week-end de septembre, samedi 26 et dimanche 27, dans un parc boisé à Presles (Val d’Oise). Au programme : concerts, librairies, arboretum, accrobranche, préhisto-parc, jeux et bons petits plats. Des débats avec des militants ouvriers de l’automobile ou de la santé, des écrivains ou des scientifiques. C’est une bouffée de fraternité à ne pas manquer. Nathalie Arthaud y tiendra un meeting chaque jour à 15 heures.
La carte d’entrée à l’avance, 10 euros pour les deux jours, est en vente auprès de nos militants ou sur le site fete.lutte-ouvrière.org
 

À Argenteuil, joindre MDommarie@aol.com

jeudi 25 juin 2020

Fête de Lutte ouvrière de septembre : de belles retrouvailles en vue…


Samedi 26 et dimanche 27 septembre à Presles (Val-d’Oise) : Fête de Lutte ouvrière de la région parisienne

24 Juin 2020

Le confinement n’a pas permis que la 50e fête de Lutte ouvrière ait lieu comme prévu, les 30, 31 mai et 1er juin. Mais ce n’était que partie remise, même si l’organisation de cette fête restera soumise aux autorisations sanitaires.
En effet, les 26 et 27 septembre, on pourra faire la fête, voir des spectacles, discuter devant une exposition ou un bon petit plat. On pourra aussi assister à des débats avec des militants, notamment de l’automobile, de la SNCF, de la santé, acteurs des luttes actuelles, et participer aux meetings que Nathalie Arthaud tiendra au cours de ces deux jours.
L’intensification des attaques du patronat et du gouvernement contre l’ensemble de la classe ouvrière rend nécessaire de rendre les coups. La fête de Lutte ouvrière doit être l’occasion de se rencontrer et de débattre des voies et moyens pour que le monde du travail puisse s’organiser pour reprendre le dessus.
                       Carte d’entrée : 10 euros pour les deux jours

  • auprès de nos militants : à Argenteuil, 0699499864 et MDommarie@aol.com
  • sur le site de la fête : https ://fete.lutte-ouvriere.org  (par carte bancaire)
  • par courrier : (chèque à l’ordre de Lutte ouvrière, adressé à Lutte ouvrière, BP 20029 – 93501 Pantin Cedex).

mardi 23 juin 2020

Fête de Lutte ouvrière, fête des retrouvailles ! Les 26 et 27 septembre prochain



Le confinement n’a pas permis que la 50ème fête de Lutte ouvrière ait lieu à la Pentecôte. Mais ce n’était que partie remise. Les 26 et 27 septembre, elle se tiendra à Presles, Val-d’Oise.
     Par milliers, on pourra y faire la fête, voir des spectacles, discuter devant une exposition ou un bon petit plat. On pourra aussi assister à des débats avec des militants, notamment de l’automobile, de la SNCF, de la santé, acteurs des luttes actuelles, et écouter les interventions de Nathalie Arthaud.
     Car l’intensification des attaques du patronat et du gouvernement contre l’ensemble de la classe ouvrière rend nécessaire non seulement de rendre les coups, mais de discuter comment s’organiser pour que le monde du travail reprenne le dessus.
     Demandez la carte d’entrée à la Fête à nos militants ou en écrivant à Lutte ouvrière. Cette carte coûte, à l’avance, 10 euros pour les deux jours.