D’abord une question : celle de la pollution du capitalisme
Comme dans bien d'autres agglomérations du sous-continent indien, la population de New Delhi, la capitale indienne, subit une pollution toxique quasi permanente. Celle liée aux particules fines y ferait plus d'un million et demi de morts chaque année.
Prétendant chasser cette pollution en provoquant des pluies artificielles, les autorités ont vainement tenté d'ensemencer des nuages avec des produits chimiques.
Mais pas question en effet pour elles de s'attaquer aux industries polluantes et aux profits de leurs propriétaires. Le capitalisme continuera à tuer impunément.

