A ce jour, 4 ans et demi d’une politique anti-ouvrière
Nous aurons l’occasion dans les
dix-huit mois qui viennent de développer ce que pourrait faire une municipalité
réellement préoccuper des intérêts de la population, et des limites
considérables de ce qu’elle pourrait faire avec la participation pourtant de la
population, dans le cadre des contraintes générales que nous évoquons dans l’article
ci-dessus.
Mais
en tout cas, le maire d’Argenteuil a agi depuis quatre ans et demi très loin de
ces préoccupations, de cette prudence, et des intérêts de l’énorme majorité de
la population d’Argenteuil qui comprend pour l’essentiel les milieux populaires
du monde du travail.
Nous
ne reviendrons pas ici sur les promesses extravagantes qu’il faisait à la
veille d’être élu, promesses n’engageant que ceux qui croient à ce genre d’engagement.
Mais
sans effectuer une liste exhaustive des mauvais coups donnés par la
municipalité actuelle, nous avons en tête la vague de licenciements
travailleurs territoriaux qu’il a opérés dès son arrivée, qui ont par ailleurs
dégradé un certain nombre de services publics essentiels pour la population.
En
augmentant le temps de travail et la charge de ces travailleurs, il appliqué à
l’échelle de la commune ce que les gouvernements de Hollande et de Macron réalisaient
à l’échelle du pays.
En
reprenant ce que son prédécesseur avait préparé en douce à propos de l’avenir
de l’ « îlot Héloïse », il s’est attaqué de front, à la surprise
générale, aux sentiments de l’énorme majorité des habitants.
Voilà
trois points d’une longue liste.
Aujourd’hui,
nos diverses informations vont dans le même sens. Georges Mothron serait
candidat à sa succession lors des élections municipales de 2019. Sans doute, s’il
était élu pour laisser rapidement la place à un dauphin.
« S’il
était élu » ! Vu de loin, cela serait le titre d’un nouvel épisode de
la série « Mission impossible ».
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