Au-delà des projets ultérieurs, l’urgence s’impose
À l’occasion de notre banquet local de samedi, nous avons pu mesurer une nouvelle fois l’urgence de la réouverture du complexe Jean Vilar des bords de Seine fermé et neutralisé depuis maintenant plus de deux ans et demi.
Notre banquet a été un succès. Il s’est tenu à L’Atrium. La jauge pour ce type d’évènements est autour de 250. Mais 280 convives s’y étaient inscrits. Certes, une solution a été trouvée, mais comment accepter devoir limiter les réservations pour ce type d’évènement dans une ville de 115 000 habitants ?
Même en réduisant la limite de participation à 500 convives, le complexe Jean Vilar offrait de toutes autres possibilités. Nous l’avons rempli à plusieurs reprises lors d’éditions antérieures de notre évènement. En outre, la salle Pierre Dux permettait dans de bonnes conditions de pouvoir organiser lors de ces soirées des prestations culturelles et d’avoir une large place au moment de l’apéritif convivial qui précède le repas.
Le projet intégrant la démolition de ce complexe a été abandonné. Bien. Des discussions doivent se mener dans les mois et les années qui viennent sur l’avenir de l’espace Jean Vilar. Bien. Mais avant la conclusion de celles-ci et les réalisations, le complexe municipal des fêtes doit de toute urgence être remis en état pour qu’il puisse vite être à nouveau utile aux habitants, aux écoles, à la vie associative et à l’expression politique locale. DM
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