Un aspect du recul drastique des services publics utiles à la population
Comme nous le développons dans l’article de notre hebdomadaire Lutte ouvrière ci-dessus, la responsabilité de l’État est essentielle sur l’état des routes et des voies rurales ou urbaines. Pour ces dernières, « l’État s’est en effet déchargé sur ces collectivités locales de l’entretien de l’essentiel du réseau routier sans pour autant leur en donner les moyens. » On peut le constater à Argenteuil où il y a de très nombreuses voies dans un état déplorable.
Le nombre de nids de poules est infini, et quand il y a une velléité de les supprimer, ce sont les effectifs qui manquent. La photo ci-dessus prise rue des écoles samedi soir indique les risques que la nuit des voitures pourraient prendre en l’empruntant, au vue des conséquences d’un travail non terminé.
Ce que l’on doit reprocher à la municipalité est qu’au-delà de rares déclarations verbales sur le désengagement de l’État, elle accepte de gérer cet état de fait, quand elle ne privilégie pas certains quartiers à sa convenance.
L’État ne peut pas distribuer des milliards et des milliards au grand patronat sans réduire les budgets des services publics utiles à la population. C’est là qu’est le problème principal. Aux travailleurs et aux habitants de le résoudre. DM
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