jeudi 16 mars 2017

Argenteuil, Théâtre, on nous informe


« C'est un spectacle sur les voyages et sur le Festival d'Avignon... vu de manière souriante, un peu de dérision, des clins d'œil à ceux qui vont au théâtre... ou pas... Tous les amis qui viendront pourront partager le verre de l'amitié après le spectacle qui dure 1h45 environ. »

mercredi 15 mars 2017

France 2 : Nathalie Arthaud invitée de Télématin

Nathalie ARTHAUD en campagne


Nathalie Arthaud dans les médias « Pour faire entendre le camp des travailleurs »

Ce matin mercredi 15 mars
à 07h50
France 2 : Nathalie Arthaud est l'invitée de l'émission Les 4 Vérités

A Argenteuil le 11 mars

  Demain jeudi 16 mars
à 07h15
LCI : Interview de Nathalie Arthaud
Et à 07h50
France Info : Interview de Nathalie Arthaud



Avec Nathalie ARTHAUD lors de son grand meeting du 26 mars




Venez soutenir notre candidate. Son grand meeting de campagne aura lieu le dimanche 26 mars, dans 15 jours maintenant, aux Docks de Paris, à Saint-Denis, près de la Porte de la Chapelle, à 15 heures.

         Nous avons réservé un car qui partira à 14 heures ce jour-là du marché de la Colonie, derrière la gare principale d’Argenteuil. Il faut vite maintenant réserver sa place ! Le transport est gratuit, et il est aller-retour !


Pour réserver, joindre Dominique :

                                          06.99.49.98.64.

                                         MDommarie@aol.com

TF1 : Journal de 20h hier : Nathalie ARTHAUD... et bravo !

Ralliés à Macron, sur la voie de la soupière. Hue, Carpentier à Montigny les Cormeilles


Comment tenter de garder son poste

A l’image de son compère Robert Hue, Carpentier, le député-maire de Montigny-les-Cormeilles vient de se rallier à Macron. L’ancien apparatchik du PCF, de Suresnes-Puteaux, puis de Colombes, devenu le second de Robert Hue à la mairie de Montigny-les-Cormeilles, puis son successeur, vient d’annoncer son ralliement à un des représentant éhonté du grand patronat.
         Même s’il réserve pour l’instant l’annonce de sa candidature en vue des élections législatives de juin dernier, il se positionne comme candidat macronien, essayant de cette façon de conserver son poste de député !
         Affligeant certes pour ceux des militants du PCF qui, pendant des années, avec leur temps et leur énergie, ont propulsé ce genre de politiciens.
         Affligeant, mais dans la droite ligne à quoi on pouvait s’attendre.
         Avec Nathalie ARTHAUD, il faut reconstruire un mouvement communiste sur de toutes autres bases, fait de militants, loin de tous ces carriéristes !

Propulsé vers la carrière par l'activité des militants

Hôpitaux publics : à Argenteuil comme ailleurs, la catastrophe. Un article du journal Le Parisien


Hôpital, il y a urgence !

 

Nous publions in extenso cet article du Parisien-95 qui est extrêmement révélateur de la situation dramatique des hôpitaux publics. Une situation catastrophique autant pour les agents hospitaliers que pour les malades

 


Argenteuil : une infirmière tente de se suicider devant son service à l’hôpital

Marjorie Lenhardt|14 mars 2017, 16h40

Une infirmière d’une cinquantaine d’années a tenté de mettre fin à ses jours devant son service à l’hôpital Victor-Dupouy d’Argenteuil en prenant une forte dose de médicaments. La CGT a immédiatement mis ce passage à l’acte sur les mauvaises conditions de travail et la gestion du personnel. Jeudi 2 mars, l’infirmière s’apprête à démarrer son travail. Mais avant d’enfiler sa blouse, elle se rend à une convocation disciplinaire avec un directeur des soins. Car trois mois plus tôt, elle s’était violemment disputée avec une collègue alors qu’elle entamait sa troisième nuit de travail.

Selon la CGT qui a écrit une lettre ouverte au personnel à la suite du drame, ce « pétage de plomb » aurait été provoqué par un changement de secteur de dernière minute couplé à la fatigue cumulée. « Lorsqu’elle s’est fâchée, quand on lui a demandé de changer de secteur, son quota d’heures supplémentaires était largement dépassé et ce n’était pas la première fois », écrit le syndicat dans cette lettre ajoutant « qu’il n’y a jamais eu autant d’entretiens disciplinaires qu’en ce moment à l’hôpital ».

C’est en sortant de cette convocation que l’infirmière a décidé de mettre fin à ses jours, dans sa voiture, stationnée à proximité de son service de médecine. Ce sont ses enfants - qui avaient reçu un message d’adieu de la part de leur mère - qui ont donné l’alerte. Ses collègues se sont alors mis à sa recherche et l’ont finalement trouvé sans connaissance dans sa voiture.

« Elle a été rapidement prise en charge par l’hôpital et elle est sortie dans les deux jours », assure la direction de l’établissement qui n’a pas souhaité réagir sur le contexte de ce geste dans l’attente des conclusions d’une enquête interne diligentée par la directrice des soins. Enquête ouverte dans le but d’analyser « les circonstances des conditions de travail de cet agent ». La CGT comme le syndicat autonome dénoncent une gestion de l’hôpital public « comme une entreprise privée avec d’un côté une direction qui ne parle que coût, rentabilité et mutualisation du personnel et de l’autre le personnel soignant face aux patients ». « Notre collègue fait cela en sortant d’un rendez-vous avec la direction, elle ne sort pas du cadre de l’établissement, elle veut dire quelque chose, elle lance un appel aux collègues, à l’hôpital et la direction », remarque un syndicaliste CGT qui note qu’un certain nombre d’infirmières sont en arrêt pour dépression et d’autres sous anxiolytiques. « Cette fois, c’est une fille qui paie le prix, la prochaine fois, ce sera peut-être une erreur de dosage de médicaments », ajoute-t-il.

Dès le lendemain du drame, un comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail extraordinaire s’est réuni et une cellule d’écoute psychologique a été mise en place. « Nous allons certainement développer une réflexion au sein de l’établissement sur le repérage des personnes fragiles », conclut la direction.

                                                   leparisien.fr

Les Républicains : la bonne droite bourgeoise et ses vieux préjugés


Une cuillère de gaullisme avec une pincée de Pétain

 Les Républicains ont posté sur Twitter une caricature de Macron intitulée « la vérité sur la galaxie Macron ». En guise de vérité, on n’apprend rien de nouveau. En revanche le dessin  représentant Macron en banquier avec un nez crochu et une faucille rappelle clairement les caricatures antisémites et anticommunistes de l’extrême droite du régime de Vichy.
L’amalgame a été suffisamment choquant pour que cette caricature soit retirée des réseaux sociaux et qu’Accoyer, secrétaire général des Républicains, s’en excuse.
Cette bonne droite bourgeoise se révèle sous son vrai jour. Et ce n’est pas de la caricature, c’est la réalité vraie.

mardi 14 mars 2017

Clause Molière : un communiqué de Nathalie ARTHAUD




Demain matin mercredi 15 mars

à 07h50

France 2 : 

Nathalie Arthaud est l'invitée de l'émission Les
 4 Vérités






La clause Molière, ou quand la droite BCBG surenchérit sur le Front national

Après Laurent Wauquiez dans la région Auvergne-Rhône-Alpes, c’est au tour de Valérie Pécresse en Ile-de-France de mettre en place une clause de restriction des marchés publics pour les entreprises qui n’imposeraient pas l’usage du français sur les chantiers.
En pleine campagne présidentielle et avec d’évidentes visées pour les élections législatives qui suivent, ces politiciens de droite, très bon chic bon genre, usent de la pire démagogie xénophobe. C’est répugnant.
Ils osent parler de sécurité sur les chantiers. Mais depuis quand se soucient-ils de la sécurité des travailleurs ? C’est la soif du profit qui rend le travail extrêmement dangereux sur les chantiers et dans les entreprises en général. Et c’est la solidarité entre salariés, au quotidien, celle de ceux qui sont au coude à coude comme exploités, quelle que soit la langue plus ou moins bien parlée, qui empêche bien des accidents.
En reprenant hypocritement à Le Pen l’idée de la préférence nationale, ils font, comme elle, la politique du grand patronat : dresser les travailleurs les uns contre les autres.
Quand une partie des travailleurs sont visés, c’est l’ensemble de la classe ouvrière qui est attaquée. Et la force des travailleurs réside dans leur solidarité. Seule l’union de tous les exploités fait leur force.

                                       Nathalie Arthaud, le 14.3.17.