Certains responsables bien identifiés, mais pour l’État, hors d’atteinte
En ce mois d’actions « Octobre rose » contre le cancer du sein, des associations rappellent que la consommation de tabac et d’alcool est en cause, et soulignent que le doublement du nombre de cas par an depuis 1990, de 30 000 à 60 000, serait aussi imputable à l’usage de certains cosmétiques, et plus encore aux pesticides et à la pollution de l’air.
On connaît donc les capitalistes qu’il faudrait contrôler pour améliorer la santé des femmes... et de tous. Mais l’État, entièrement dévoué aux intérêts du grand patronat, ne fait rien pour empêcher de nuire empoisonneurs et pollueurs. Il faudra plus que leurs beaux discours pour s’attaquer au cancer de la recherche du profit.
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