mardi 8 août 2023

Le blog Lutte ouvrière d’Argenteuil prend des vacances. Il en profite pour vous proposer de bonnes lectures (7) : Le goûter du lion d’Ito Ogawa, chez Picquier

Prendre l’air, respirer, faire un break

 

Un peu d’espace

         Eh oui, il en a bien besoin. Une année active derrière nous. Une autre semblable, voire encore davantage nous espérons, cela signifierait que les combats avancent. Mais un petit temps de repos ne lui fera pas de mal. Reprise : le samedi 26 août au matin. Bien sûr, si des évènements de grande importance l’exigeait, il reprendrait ponctuellement son service. En attendant, chacun dispose de notre site à l’échelle du pays qui lui ne prend pas de vacances : lutte-ouvrière.org .

         Chaque jour néanmoins, vous trouverez sur lo argenteuil un conseil de mes très bonnes lectures de ces deux dernières années.

         Pour terminer, bonnes vacances à ceux qui filent vers l’ailleurs, courage et tranquillité aux autres qui restent at home. Et comme je le dis chaque jour sur Facebook, en le pensant vraiment, Salut et fraternité. Dominique

 

Les prochaines permanences prévues :

-Vendredi 25 août, de 17 h.15 à 18 heures 15.

-Vendredi 1er septembre, de 17 h.15 à 18 heures 15.

Toutes les semaines sauf le numéro du 18 août, l’hebdomadaire Lutte ouvrière sera en vente au Presse-papier.

 

Le goûter du lion d’Ito Ogawa, chez Picquier

 

 


Le premier est d’Ito Ogawa, l’autrice japonaise de l’excellent « Le restaurant de l’amour retrouvé ». En l’occurrence, il s’agit du « Le goûter du lion » paru chez Picquier.

         Le sujet est celui de la fin de vie. Ne reculez pas. C’est un roman fait de bonheur. Le personne central a un cancer et sa fin de vie se mesure en quelques mois. Elle se retrouve dans un établissement bien particulier destiné à ce que ces derniers jours soient les plus heureux possibles. Et ils le sont, ces jours où chacun partage si l’on peut dire le dernier séjour d’autres résidents qui disparaissent dans la plus sérénité les uns après les autres.

         C’est donc un petit grand roman sur un sujet dont j’ignore qu’il soit traité de cette façon ailleurs.

         En tout cas, comme nous aimerions que de tels établissements existent partout, qui permettraient que l’on quitte ce monde le plus paisiblement possible.

         C’est un roman dont la lecture fait en tout cas, le plus grand bien.

 

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