lundi 14 juin 2021

Affiches électorales, colleurs et démocratie, ça ne prend vraiment pas…

Nous reviendrons peut-être sur les conditions dans lesquelles nous pouvons coller (très difficilement) quelques affiches à Argenteuil. Mais ce n’est présentement pas de cela dont il s’agit, mais d’un incident qui a mise aux prises un colleur de Lutte ouvrière à Arcueil (94) et des pécressiens…

 

A propos d’un incident entre afficheurs

13/06/2021

Un certain nombre de medias se relayent en accusant un militant de Lutte ouvrière d’avoir agressé des militants de la liste de Valérie Pécresse en Île-de-France lors d’un collage d’affiches.

Voilà donc Lutte ouvrière accusée d’empêcher l’actuelle présidente de la région de s’exprimer, comme si celle-ci n’avait pas tous les moyens de le faire et tous les micros des medias ouverts. Lutte ouvrière imposerait donc sa « dictature » tout simplement parce qu’un de ses militants a défendu une de ses affiches que les colleurs de Mme Péresse voulaient recouvrir, comme d’ailleurs toutes les affiches alentour.

Encore une fois presse et media n’ont aucun respect des faits, préférant prendre fait et cause pour une personnalité et dénoncer la prétendue violence de l’extrême-gauche plutôt que de s’informer simplement.

Ce jour-là, le 9 juin à Arcueil, ce militant de Lutte ouvrière a protesté contre le fait que cette équipe voulait recouvrir tous les panneaux d’affichage libre alors que, au moins dans cette localité, il est de règle que les afficheurs des différent partis évitent de se recouvrir complètement, ce qui est plutôt une bonne chose. Le fait que cela ait déclenché une altercation, sans aucune gifle ou violence de la part de Lutte ouvrière, contrairement à ce qu’affirment les partisans de Madame Pécresse et nombre de medias, tend plutôt à démontrer que le respect des autres ne fait pas partie de leurs valeurs.

0 commentaires:

Enregistrer un commentaire