mercredi 30 juillet 2014

Argenteuil : AB-Habitat, G Mothron à la radio


Finances municipales, suite… et pas fin

Ce matin, dans l’émission La Matinale de France Inter (on peut la réécouter jusqu’en 2017…, cf le site de cette radio), le maire d’Argenteuil, Georges Mothron a été interrogé sur la situation financière actuelle de la commune et des raisons qui y ont conduit.

Il y a dans cet interview à boire et à manger comme on dit sur les Côteaux comme à Joliot-Curie.

Interrogé sur sa promesse électorale de diminuer les impôts, il n’a guère répondu, reprenant seulement le motif déjà entendu, pour résumer : « on ne pouvait pas prévoir ».

Il fallait tout de même seulement ouvrir les yeux pour constater les multiples travaux qui avaient lieu, des travaux pour l’essentiel prioritaires pour la commune, y compris pour constater l’embauche de nombreux collaborateurs du maire. Alors, pourquoi ne pas avoir mis en garde la municipalité d’alors et surtout la population ? Pourquoi avoir fait une promesse inconsidérée ?

Une piste a retenu notre attention : « il faudrait un organisme de contrôle » des dépenses publiques communales pour suivre les dépenses et l’état des finances.

Veut-il un organisme de plus qui ne contrôle rien ou quand ça l’arrange ?

En revanche, le contrôle de toute la population serait nécessaire, et jour après jour. Avec l’aide des employés municipaux, il n’y aurait pas d’obstacle pour établir ce qu’il en est de l'état des finances.

 

Notre santé mérite d’être bien protégée, par l’action mutuelle s’il le faut

 

La CGT d’AB-Habitat essaie de mobiliser les salariés pour y voir plus  clair et trouver une solution.

Celle-ci revient en premier lieu à la direction d’AB-Habitat.

L’assurance en matière de santé devrait totalement être prise en charge par l’Etat ou les employeurs. On en est loin aujourd’hui avec les reculs successifs en matière de sécurité sociale, avec le rôle accru de mutuelles dont le fonctionnement est loin d’être transparent.

On perd une bonne part de nos forces et de notre santé au travail. C’est à ceux qui en bénéficient, les employeurs en premier lieu, d’en payer les frais.

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