Des
milliers d’enfants de 10 à 14 ans qui travaillent, au noir, dix heures par
jour, pour 1 euro de l’heure, comme livreurs, garçons de café, apprentis
coiffeurs ou garagistes, petites mains dans le textile : ce n’est ni en
Inde ni en Chine, c’est à Naples en Italie. Ce retour du travail des enfants
est la conséquence de la crise, du chômage et de la réduction drastique des
aides sociales, qui ont plongé 130 000 familles de Campanie dans la misère.
L’avenir promis par le capitalisme aux
classes populaires de toute l’Europe, c’est le retour des enfants au travail.
Cela condamne ce système.
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