L’argument, ou plutôt le prétexte, c’est de
permettre l’accès à cette compétition aux femmes dont les croyances les
empêcheraient de montrer le moindre centimètre de leur peau. Mais cette
décision est surtout le fruit des pressions exercées par les monarchies
pétrolières du Golfe, dont les dollars pèsent très lourd dans le
sport-business.
Si cette décision devient effective, elle
sera un point d’appui pour les idées moyenâgeuses qu’on veut imposer à toutes
les femmes, football ou pas, et qui se traduisent par des tas d’interdits. Ces
messieurs BCBG de la FIFA ,
qui ont proclamé ce droit à l’oppression, méritent un carton rouge.
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