Depuis le 1er janvier, les moquettes, peintures et autres matériaux de décoration intérieure doivent comporter une étiquette indiquant le degré de présence de polluants volatils qu’ils contiennent. Ces polluants provoquent de l’asthme, des allergies et d’autres problèmes de santé. Mais l’étiquetage sera laissé sous la responsabilité des fabricants ! Quant au consommateur, il lui faudra s’y retrouver avec les étiquettes qui s’accumulent sur les produits.
Il serait plus simple d’interdire l’utilisation de ces polluants, mais ce serait, disent nos ministres, une atteinte à la liberté des fabricants, qui est sacrée dans ce système. C’est comme ça qu’on a laissé un margoulin faire des profits sur la fabrication de prothèses mammaires.
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