Banquet 2023 des amis de Lutte ouvrière à Argenteuil : une très belle soirée

Une soirée festive, politique, de fraternité, totalement réussie

 

 

 

« Merci à vous d’être venus. Si ce banquet a pu avoir lieu, c’est grâce à tous ceux qui ont pu donner un coup de main, en particulier les camarades et amis d’Argenteuil. Nous sommes ici dans la salle de L’Atrium, mais nous espérons nous retrouver un jour dans un complexe Jean Vilar rénové. Pour ce combat, le Comité Jean Vilar de défense appelle à un rassemblement le mardi 28 mars prochain devant la mairie avant le conseil municipal. Je vous invite à y participer nombreux.

         Ce banquet continue à Argenteuil un aspect de la meilleure tradition du mouvement ouvrier, celle des réseaux militants communistes révolutionnaires dans les entreprises et les quartiers, celle des multiples liens de lutte, mais aussi de culture et de fraternité, qui se traduisent aussi par ce genre de manifestation festive mais aussi politique… » (début de l’intervention de Dominique)

         Le banquet a été une réussite. Salle comble. Une soirée réussie à la satisfaction de tous.

 

Le point sur le mouvement contre la réforme des retraites par Jean-Pierre MERCIER lors du Cercle Léon Trotsky de vendredi soir. 13 mn 31 à écouter, réécouter, partager, discuter…

Retraites : une vie d’exploitation, une pension de misère

 

L’usure des travailleurs et le combat contre la réforme Macron

 

 

D’après une étude du ministère du Travail réalisée en 2019 et qui vient d’être publiée, quatre salariés sur dix ne se sentent pas capables de travailler jusqu’à la retraite. Ce « sentiment d’insoutenabilité du travail » est encore plus fort chez les ouvriers, les employés en contact avec le public et les salariés de la santé.

         Ces travailleurs savent bien qu’ils ne peuvent déjà pas tenir jusqu’à 62 ans et que cela les condamne à des pensions de misère. Raison de plus pour se battre contre un âge légal de départ à la retraite à 64 ans.

Retraites, aussi une question d'ordures : les travailleurs font grève, les ordures se font entendre

Les ordures !

 

 

Dans plusieurs villes, les éboueurs ainsi que les travailleurs de sites d’incinération des déchets sont en grève contre la réforme des retraites. C’est notamment le cas dans les beaux quartiers de Paris, où certains réalisent avec stupeur que sans ces travailleurs, leurs poubelles s’amoncellent.

         Le maire LR du 17ème arrondissement en profite quant à lui pour réclamer que la collecte des déchets de la capitale soit attribuée à des entreprises privées. Une pincée de mépris pour les travailleurs, une louche de profits promis à ces entreprises : les ordures ont parlé.