mardi 24 mai 2022

Davos : le sommet des irresponsables

 

Les capitalistes et leurs valets incapables de maîtriser leur système

 


Le rendez-vous annuel des grands patrons et chefs d’État et de gouvernement à leur service se tient à Davos, en Suisse.

         Si l’explosion des bénéfices pendant la pandémie a fait le bonheur des grands bourgeois, certains se disent préoccupés par le chaos économique actuel. Hausse des taux d’intérêt, pénuries, inflation... « Je ne sais pas vers quoi nous allons », s’inquiète Roux de Bézieux, le président du Medef.

         Les capitalistes ne maîtrisent pas leur propre système, et sont incapables de le faire car la course au profit est leur seule boussole. Pour sauver la planète et la société de la catastrophe, ce sont ces parasites sociaux qu’il est urgent de renverser.

Fête de Lutte ouvrière, c’est dans trois jours. Du spectacle partout

Les spectacles

 

Le Grand Podium

Pour vous émouvoir et vous distraire, les artistes se succèdent au Grand Podium, devant une pelouse accueillant plusieurs milliers de personnes.

 

Le Théâtre de Verdure

Au Théâtre de Verdure, sur une scène aux dimensions plus intimes, dans une ambiance chaleureuse, se déroulent des spectacles variés.

 

Et ailleurs dans la fête

De nombreux spectacles auront lieu dans les allées de la fête, à la guinguette, sur la scène du hêtre pourpre, etc.

 

Au Grand Podium

Vendredi 27 mai

 

14:30

GADGE TAVARITCH (Jazz manouche Chansons swing)

 


17:00

Martha Fields Band (Country Folk 100 ans d'histoire Country, Blues, Honky Tonk, Bluegrass et rock'n'Roll)

Cette chanteuse texane, compositrice a commencé à chanter du jazz, des standards de blues dès son enfance. Avec Manu Bertrand (dobro, banjo, mandoline, pedal steel) O.Leclerc (violon), Urbain Lambert (guitare) S. Samyn (contrebasse) D. Bielsa (batterie)

https://www.texasmartha.com/francais

 


20:30

 

EL GATO NEGRO (La rencontre du Soukouss, de la Cumbia et de l'AfroTrap sur des chansons en français et en espagnol.)

Entre salsa et samba exubérante, reggae et cha-cha-cha. Les rencontres, les voyages et les tournées ont transporté EL GATO NEGRO encore un peu plus loin pour ramener de nouveaux rythmes et mélodies.

http://gatonegrotropical.com/

À suivre

 

lundi 23 mai 2022

Smic : pouvoir vivre de son salaire. Un article de notre hebdomadaire Lutte ouvrière

Smic : pouvoir vivre de son salaire

18 Mai 2022

Jean-Luc Mélenchon a annoncé que, s’il était Premier ministre, il porterait le smic à 1 500 euros net. Immédiatement, on a entendu une ribambelle d’économistes, de représentants politiques et de journalistes expliquer que ce serait une catastrophe pour l’économie.

 

En réalité, tous savent que le smic pourrait atteindre bientôt 1 500 euros net par mois simplement à cause des revalorisations automatiques dues à l’inflation. Pour les travailleurs, cela ne voudra même pas dire que leur pouvoir d’achat s’améliore. Il suffit de voir ce qu’il s’est passé en un an : le smic a augmenté de près de 80 euros, mais les prix de l’électricité, des carburants, des produits alimentaires sont montés en flèche. Et la hausse du smic n’a pas compensé cette envolée.

Le gouverneur de la Banque de France a ajouté qu’il était opposé aux hausses de salaires car celles-ci seront « bouffées dans les mois qui suivent par le supplément d’inflation, et tout le monde sera perdant ». Il est vrai que si le patronat était contraint d’augmenter les salaires, il tenterait de se rattraper immédiatement sur les prix. Après les grandes grèves ouvrières de juin 1936 ou celles de mai 1968, c’est ce qui s’est passé. Mais renoncer pour autant à revendiquer des augmentations serait céder au chantage. Ce qui est vrai, c’est que le combat des travailleurs ne peut pas s’arrêter en chemin. Si les prix augmentent, et ils augmenteront, les travailleurs devront se battre pour que les salaires continuent d’augmenter. Alors, une promesse électorale d’un smic à 1 500 euros net fait peut-être crier des politiciens de droite, mais le problème n’est même pas de s’arrêter à un chiffre, il est d’imposer en permanence un rapport de force, entre travailleurs et patronat, tel que ce dernier soit obligé de payer.

                                                   Pierre ROYAN (Lutte ouvrière n°2807)

 

Achetez notre hebdomadaire Lutte ouvrière (1,5 euro) numéro 2807 demain, et Lutte de classe (2,5 euros) n°224 avec un article très important sur le bilan des Présidentielles (au « Presse papier » seulement), lors des permanences et chez les marchands de la presse :

                   -au Val d’Argenteuil-nord, bureau de tabac du Val-Nord ;

                   -librairie « Le presse papier », avenue Gabriel Péri.

 

Les prochaines permanences :

-aujourd’hui lundi 23 mai, de 16 heures à 17 h.30 entrée de la mairie,

Et de 18 à 19 heures au centre commercial des Raguenets à Saint-Gratien ;

-mardi 24 mai, de 16 h. à 17 h.30 entrée de la mairie ;

-mercredi 25 mai, de 11 h. à midi au marché des Champioux.

 

 

La Fête de Lutte ouvrière à Presles, les 27, 28 et 29 mai 2022

Les habitués de la fête de Lutte ouvrière à Presles savent que celle-ci se tient d’ordinaire lors du week-end de la Pentecôte. Or la ligne H de la SNCF, qui dessert la gare de Presles-Courcelles, sera interrompue pour travaux à la Pentecôte 2022. C’est pourquoi nous avons décidé d’avancer notre fête annuelle, et de l’organiser pendant le week-end de l’Ascension, soit les vendredi 27, samedi 28 et dimanche 29 mai 2022. Des dates à retenir !

         La vignette d’entrée coûte 15 euros pour les 3 jours (25 euros sur place). C’est gratuit pour les enfants accompagnés de moins de 14 ans.

Pour l’achat des vignettes, Dominique 0699499864, jusqu’à ce mercredi 25 mai-16 heures.

 

Réunion publique des candidats de Lutte ouvrière dans la 5ème circonscription du Val d’Oise

Élections législatives du 12 juin 2022

Avec Dominique MARIETTE ET Michel CAMPAGNAC

Espace Nelson Mandela

9 juin