vendredi 23 novembre 2018

Argenteuil et ses problèmes géographiques : A15, « entrée de ville »…


Sur la bonne voie, mais…

On annonce l’ouverture d’une troisième voie sur l’A15 dans le sens province-Paris pour début décembre.

         Ce serait effectivement une première bonne nouvelle.
         Si l’affaire avait été prise à bras le corps dès le 15 mai, et avec les moyens vraiment nécessaires pour faire face à la situation, il y aurait maintenant sans doute belle lurette que l’ensemble des quatre voies seraient toutes rétablies à la situation !


Monsieur le timonier, la géographie s’apprend à tout âge

 Nous avons hâte de connaître le compte-rendu de la réunion du Figuier blanc d’hier au soir. Mais pour revenir à la tribune exprimant le point de vue de la municipalité qui portait sur le développement économique dans l’avant-dernier numéro de l’Argenteuillais, nous n’avons pu qu’être franchement étonnés par nombre d’affirmations quelque peu surréalistes qu’elle contient. Aujourd’hui, nous n’en évoquerons qu’une seule portant sur le projet « Argenteuil Littoral » concernant l’espace de la « zone Otis », celle de la zone industrielle de la gare centrale. Il y est dit « d’ici 2020, le quartier de la gare deviendra une nouvelle entrée de ville ».
         Sous prétexte qu’il permet de se dégager ou d’entrer sur la voie sur berge, la D311 ce quartier qualifié « d’entrée de ville » ne l’est rien de moins ! Justement, cet espace ne peut pas en être une, car il est un espace profondément fermé, « enclavé », et un des pires qui le soient dans une ville, Argenteuil, qui l’est déjà d’une façon magistrale avec tous les problèmes induits.
         On nous parle « d’ici 2020 », c’est-dire si les mots veulent dire quelque chose, à la fin de l’année 2019 ?
         Argenteuil Littoral ne relève pas du projet olympique Paris 2024, et l’on ne peut imaginer qu’il sorte dans les mois qui viennent. Et des constructions s’engageraient-elles, que ce ne n’est pas la situation de ses portes de sortie qui seraient réglées : le portillon du tunnel de la rue de la voie des bans, dont l’élargissement demanderait d’énormes travaux ; la voie impraticable de la place Aristide Briand handicapée par son tunnel de la route d’Enghien ; la complexité de la sortie de l’espace du côté de la rue Claude Monet.
         La messe est dite.




Modeste promotion


Une conférence que j’avais faite naguère sur « Argenteuil, une géographie », que j’avais rédigée dans l’objectif de faire comprendre à mes élèves la géographie, avait été éditée par l’ancien maire, sans trop me le demander, et surtout de ma part, d’une manière évidente totalement bénévole.
         Il paraît qu’il reste un certain nombre d’exemplaires de cet opuscule dans les caves de la Ville. Il en reste, car, allez savoir pourquoi, la municipalité fait, jusqu’à ce jour, une sorte d’omerta sur son existence. Vous ne la trouverez pas aux côtés des autres ouvrages édités par la Ville. Bien évidemment, vous pouvez la trouver à la librairie du Presse-papier
         C’est dommage qu’il en soit ainsi. Les membres de la municipalité auraient tout intérêt à la lire pour approcher ce qu’est la géographie d’Argenteuil et permettre ensuite de réfléchir leurs décisions de modification urbaine dans le cadre des réalités du territoire de la Ville, léguées par le fleuve et l’histoire.DM

jeudi 22 novembre 2018

Nathalie ARTHAUD sur BFM TV à 21 heures



Ce soir sur BFM TV :  Débat avec Nathalie Arthaud

à 21h00 où l’on an manquera pas d’évoquer les mouvement

 des bonnets rouges et le rouge des revendications des

travailleurs





Revendications des travailleurs et "gilets jaunes"


Les travailleurs et leurs revendications

Dans les mobilisations du 17 novembre et des jours suivants, on a entendu de tous côtés les mêmes exclamations : « On n’y arrive plus », « On n’arrive pas à boucler les fins de mois ».
Les taxes, les impôts, les bas salaires, les petites retraites, les allocations misérables, les prix qui ne cessent d’augmenter dans tous les domaines : tout y passe. L’immense majorité de la population, subit une paupérisation continue, conséquence de la crise du capitalisme.
La classe capitaliste s’enrichit à milliards sur l’exploitation des travailleurs. Engager un combat général du monde du travail pour que ces milliards servent à l’augmentation générale des salaires, des pensions et des allocations, c’est défendre le niveau de vie de l’ensemble des travailleurs, y compris de ceux en contrats précaires, employés par de petites entreprises, de ceux qui sont en retraite ou contraints au chômage. Et, pour que ces augmentations, à la hauteur des besoins, ne disparaissent pas aussi vite qu’elles ont été acquises, salaires et pensions doivent suivre automatiquement la hausse des prix, sous le contrôle des travailleurs et de l’ensemble de la population. Cela doit être la réponse du monde du travail à la dégringolade de ses moyens d’existence.
Les capitalistes réalisent leurs profits en exploitant les travailleurs mais, parallèlement, ils prélèvent aussi leur dîme sur d’autres catégories sociales : sous-traitants, travailleurs indépendants, artisans, paysans, petits patrons sont contraints d’accepter la dictature des grands groupes et de l’État à leur service et en subissent eux aussi les conséquences.
La conquête d’un niveau de vie acceptable, par une revalorisation massive des salaires et des pensions aidera d’autres catégories sociales, qui subissent toutes le contrecoup de l’appauvrissement des travailleurs.
La recherche du profit maximum dans le contexte de la crise du capitalisme n’ouvre aucune perspective d’amélioration de leur sort à l’ensemble des catégories populaires.
Quand, par ses luttes, la classe ouvrière desserre l’étau de la dictature des grands groupes capitalistes et des banques, c’est en fait toute la société qui respire.

                                                   Paul SOREL (Lutte ouvrière n°2625)

Gilets jaunes, dans la rue et dans les entreprises. Deux articles de notre hebdomadaire Lutte ouvrière n°2625 à paraître demain.


La goutte d’essence de trop ! 

Samedi 17 novembre, près de 300 000 personnes en gilet jaune se sont mobilisées pour protester contre la hausse des taxes sur l’essence et le gasoil, occupant de nombreux ronds-points avec des blocages ou des filtrages qui ont été presque toujours bien acceptés par les automobilistes, ou encore manifestant dans les centres-villes.
Cette protestation ne s’arrêtait cependant pas à ces taxes, mais visait plus généralement la hausse des prix, des loyers, du gaz, des mutuelles… alors que les salaires sont bloqués depuis des années et que les pensions des retraités ont été réduites par la hausse de la CSG.
Le rejet de Macron s’est exprimé largement, mais aussi le ras-le-bol des fins de mois difficiles et des conditions de travail qui empirent, de la vie qui devient de plus en plus difficile pour les classes populaires. « On n’arrive plus à vivre », « C’est le Cac 40 qui commande vraiment », « Il faudrait un 1789 contre les capitalistes », pouvait-on entendre, entre autres choses.
Il y avait certes des drapeaux tricolores, et certains des partisans du Rassemblement national présents ont tenu des propos racistes, que les médias se sont empressés de relayer. Mais, dans les endroits où cela s’est produit, ils se sont souvent fait remettre à leur place par d’autres manifestants. Et cela n’était en rien la tonalité générale.

Région Rhône-Alpes

Des milliers de participants en majorité salariés, aides à domicile, ouvriers du bâtiment, cheminots, jeunes en emploi précaire, mais aussi artisans, ont organisé des blocages de supermarchés, comme à Auchan Saint-Priest, des barrages filtrants, un péage gratuit sur l’A6, à Villefranche-sur-Saône, ou encore des manifestations improvisées toute la journée. 500 à 600 personnes se sont ainsi retrouvées à midi sur la place Bellecour à Lyon.
Autour de Grenoble, des agriculteurs avaient accroché sur leurs tracteurs des banderoles sur lesquelles on pouvait lire « Agriculteurs sur la paille » ou encore « Macron, tu saignes les petits agriculteurs ».

En Bourgogne

Les manifestants ont également été nombreux : 600 personnes se sont rassemblées à Montbard, 1 300 au plus fort de la journée à Chalon, 500 au Creusot, 400 à Montceau-les-Mines. À Dijon, la mobilisation a réuni plus de 6 000 personnes. Près du centre-ville, les manifestants ont été accueillis… par les gaz lacrymogènes lancés par les CRS.

Dans l’Est

À Saint-Avold, comme à Belfort, Nancy, Metz, les rassemblements ont regroupé un milieu populaire d’ouvriers des usines des alentours, comme ceux de l’usine Neuhauser de Folschviller en Moselle, en grève contre les licenciements, mais aussi de petites usines ou encore des retraités. Beaucoup de délégués syndicaux, en particulier CGT, étaient présents, malgré le refus de leurs confédérations de participer à la journée du 17 novembre.

À Nantes

Les blocages qui ont rassemblé plusieurs milliers de personnes ont permis, comme ailleurs, de nombreuses discussions sur les salaires et les retraites trop faibles, les hausses de l’essence, du gaz, des loyers, de tout ce qui est indispensable pour vivre, mais aussi sur le chômage qui augmente.

À Châtellerault

Le rassemblement le plus important de la région avec 3 000 personnes a regroupé de nombreuses délégations de travailleurs d’entreprises : les Fonderies du Poitou, Valéo, Hollywood, Aigle, Fenwick, Marelli, Snecma, Thales, ainsi que des employés communaux, des cheminots, des salariés des hôpitaux, venus en famille. Une partie des 3 000 gilets jaunes sont partis manifester en direction de l’hôpital où des services entiers doivent fermer, pendant que d’autres bloquaient un rond-point, entraînant la fermeture du magasin Auchan.

Du nord au sud du pays...

Le constat était le même : « On ne s’en sort plus ».
Beaucoup de manifestants se sont demandé quelle suite donner à cette journée. Certains ont d’ailleurs continué à bloquer les jours suivants. Une chose est sûre : ce mécontentement doit continuer à s’exprimer. Les gilets jaunes appellent à une manifestation samedi 24 novembre à Paris, dans ce but. Dans ces mobilisations, le monde du travail doit mettre en avant ses propres objectifs pour défendre son niveau de vie, en particulier l’augmentation générale des salaires, des allocations et des retraites en fonction de celle des prix.

                                             Aline RETESSE (Lutte ouvrière n°2625)
Des réactions dans les entreprises

De nombreux travailleurs étaient présents dans les différentes actions du 17 novembre, aux quatre coins du pays. Dans plusieurs entreprises, des salariés ont saisi l’occasion d’exprimer leur mécontentement par des débrayages. Les conditions de travail, la pression pour produire toujours plus et surtout les salaires qui ne suffisent pas à finir le mois étaient au centre des discussions.

                                                            

Chez PSA, à Douvrin dans le Pas-de-Calais

La Française de Mécanique, qui fait partie du groupe PSA, fait tourner une équipe de production de moteurs le samedi et le dimanche (SD), de 16 h 30 à 6 heures. En arrivant samedi, plusieurs travailleurs ont profité de l’appel de la CGT à débrayer pour des hausses de salaires, pour dénoncer les salaires bien trop bas, l’inquiétude pour l’avenir des enfants… D’autres travailleurs ont grossi ce petit groupe dans l’heure qui a suivi.
Dans l’usine comme dans le reste du groupe PSA, la direction met une pression constante pour sa production, en faisant déborder avant et après les 12 heures du poste, ou en faisant décaler toutes les pauses. Elle s’est même fait prendre la main dans le sac à ne pas payer intégralement les majorations pour travail de nuit en SD, sans parler des « erreurs » sur les fiches de paye des intérimaires.
Ceux qui ont tenu à débrayer voulaient que cela se sache et ont fait le tour des deux bâtiments. Cela a été l’occasion de discussions très encourageantes avec les autres travailleurs en étant largement compris.

PSA Sochaux et Mulhouse

Des appels à la grève de la CGT ont été relativement suivis dans ces deux usines PSA. Des travailleurs qui n’avaient jamais fait grève s’y sont mis ce coup-ci, même s’il s’agissait surtout de ne pas se retrouver bloqués en rentrant du travail.
À Sochaux, dans un secteur du Ferrage, sur 20 salariés en CDI, 17 se sont déclarés grévistes dès le vendredi soir pour le lendemain. L’une des deux lignes de production de l’usine ne travaillant pas, la direction a dû trouver du monde pour que celle-ci sorte à peu près normalement.
Dimanche soir, aux portes de PSA Sochaux, il y a eu des tentatives de blocage par plusieurs dizaines de gilets jaunes, vite évacués par la police mais causant quelques retards à la production.
À Mulhouse, au dernier moment, la CFDT et FO ont aussi appelé à la grève. Il faut dire que les élections professionnelles sont proches ! Au Montage, une centaine d’ouvriers, dont des intérimaires, étaient en grève, et la direction a fait venir énormément d’intérimaires de contre-équipe. Même en faisant venir des renforts, elle a perdu trois heures de production. Du côté des travailleurs, en grève ou restés au travail, tout le monde en était satisfait !

Chez Michelin, à Cholet
La grève appelée par la CGT samedi 17 novembre a été suivie à près de 50 % dans cette usine. Des ateliers entiers n’ont pas pu fonctionner normalement. À 7 h 30, une cinquantaine de travailleurs se sont retrouvés sur le parking de l’usine pour se joindre ensuite au rassemblement le plus proche, sur le rond-point d’une zone commerciale. Banderole, slogans et pancartes réclamant l’augmentation générale des salaires ont été bien accueillis et ont suscité les discussions.
Lundi, dans les ateliers, les représentants de la direction se lamentaient sur la perte de production enregistrée le samedi 17 novembre. C’est bien dans les entreprises, au cœur de leur système, qu’on peut faire mal aux capitalistes.

À la Redoute, à Roubaix

Il y avait beaucoup d’animation samedi. Certains avaient posé un gilet jaune derrière leur pare-brise et beaucoup voulaient se montrer solidaires des initiateurs du mouvement. Les discussions tournaient autour du fait que tous les prix flambent et pas seulement ceux des carburants, tous constataient que seuls les salaires sont bloqués depuis des années et qu’il faut les augmenter. La colère contre Macron, « exclusivement au service des richards », revenait dans toutes les conversations. Un rassemblement a donc été proposé à tous les travailleurs sur le parking de Quai 30, l’usine logistique à Wattrelos, samedi 17 au matin. Les deux équipes du week-end, d’une soixantaine de travailleurs chacune, ont été appelées à la grève.
Une bonne soixantaine de salariés ont écouté les interventions de militants de la CGT et ont manifesté dans le quartier en scandant joyeusement des slogans comme : « L’essence flambe, et notre colère aussi, les salaires sont gelés, il faut les réchauffer. » Beaucoup de gens se mettaient à leur fenêtre ou à leur porte pour applaudir et approuver les manifestants sur leur passage.
L’équipe d’après-midi a largement montré sa solidarité avec le mouvement, puisque plus de la moitié de l’effectif des embauchés a quitté l’usine à 17 heures et quelques-uns encore à 19 heures, alors que la pression de la direction devenait forte pour l’opération promotionnelle du Black Friday.

À Neuhauser, à Saint-Avold

Lundi 19 novembre, les travailleurs de l’entreprise Neuhauser, en Moselle, toujours en grève contre la menace de licenciements, se sont rendus en cortège à une vingtaine sur un rond-point stratégique, bloqué par 300 gilets jaunes qui avaient maintenu leur mobilisation depuis le samedi. Un groupe de salariés de l’entreprise, qui avaient eu la même idée, s’y trouvaient déjà et les retrouvailles ont été chaleureuses.
Les autres manifestants présents sur le rond-point ont accueilli avec enthousiasme les travailleurs en lutte et leur ont démontré leur soutien en bloquant tous les camions entrant et sortant de l’usine, au grand dam du responsable de l’entreprise.

Pôle emploi : grève contre une attaque frontale, contre les chômeurs et contre les agents


Face au chômage, le gouvernement supprime des postes

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Mardi 20 novembre, la grève des employés de Pôle emploi a été bien suivie. Les travailleurs y refusent les 800 suppressions de postes prévues pour l’année prochaine. D’autant que le gouvernement en prévoirait 3 000 de plus dans les années suivantes.
Les grévistes dénoncent aussi les conditions de travail qui se détériorent, chaque employé devant s’occuper d’un nombre toujours plus important de dossiers de demandeurs d’emploi. Pour les chômeurs, les conditions d’accueil et de suivi sont de plus en plus déplorables, entre autre parce que les démarches se font de plus en plus souvent informatiquement, sans accompagnement humain et que les contrôles sont de plus en plus nombreux.
Le gouvernement n’a qu’un objectif : faire des économies sur le dos des chômeurs et des services publics, pour pouvoir arroser toujours plus le grand patronat !

Crédit à la consommation : gouvernement main dans la main avec les financiers rapaces


Le gouvernement au secours des étrangleurs



Le gouvernement veut supprimer les encarts figurant sur les publicités des crédits à la consommation qui détaillent les conditions d’emprunt, ainsi que l’avertissement indiquant qu’un crédit engage celui qui le contracte. Tout cela n’empêchait pas bien des personnes de se faire piéger et de se surendetter, mais au moins cela les alertait un peu au moment d’emprunter.
C’est visiblement encore trop pour les banques !

Conseil Economique d’Argenteuil : pas grand-chose à se mettre sous la dent


Il faut bien se réunir une fois par an

On se demande bien comment le grand timonier du Conseil Economique d’Argenteuil va pourvoir meubler la soirée de ce soir au Figuier Blanc. Nous le reconnaissons, il n’est pas facile de transformer un presque rien en un petit quelque chose. L’exercice est difficile. En tout cas, ce qu’évoque la majorité municipale dans sa dernière tribune sur le sujet confirme ce que nous disons. Du blabla sur les liens resserrés avec Otis, Givaudan ou Dassault. L’évocation du projet autour de l’ex-zone industrielle de la gare d’Argenteuil qui va bientôt se concrétiser, et l’affaire de la Porte Saint-Germain qui n’est tout de même pas d’une première jeunesse. Une bonne nouvelle toutefois, le silence fait sur « Cap Héloïse » qui n’apparaît pas dans cette tribune.
         Certes, le président du CEA a du bagout, mais il n’est tout de même pas facile de faire illusion.
         Alors comment va-t-il occuper la soirée ?
         Pas chien, nous proposons deux sujets qui peuvent, en cas de besoin, chacun, occuper une petite heure.
         1.Nous sommes bientôt au terme de la cinquième année du mandat de cette municipalité. Que peut-on dire aujourd’hui de l’état d’avancement des 15 engagements ci-dessous, dont une part notable relève de « l’économique » ou l’implique.


         2.La municipalité nous propose des bouts d’espaces communaux en projet. Elle ne pourrait pas envisager d’en avoir un seul, celui de la rive de la Seine qui d’Epinay à Bezons pourrait porter réellement le thème « Argenteuil, rive d’Impressionnisme » !