mardi 7 mars 2017

Fête de Lutte ouvrière à Argenteuil


Samedi prochain 11 mars


A Argenteuil, la grande fête locale de Lutte ouvrière
Complexe Jean Vilar
A partir de 17 heures (entrée libre)
Musique classique - Librairie-Badges
A 17 heures 30, débat :
« Les communistes révolutionnaires dans les élections présidentielles »
 A 19 heures (entrée libre)
Meeting
De Nathalie ARTHAUD

Puis, à 20 heures, sur réservation
L’Apéro, le banquet, suivi de la soirée dansante.



Un moment de musette puis le groupe des
« moonlights swampers »
Réservez vite maintenant : 15 euros, 7 pour les enfants accompagnés de moins de 14 ans. Chèques à l’ordre de « D. MARIETTE »
Pour tout contact : 06.99.49.98.64. et MDommarie@aol.com

lundi 6 mars 2017

LCI : entretien avec Nathalie ARTHAUD

Nathalie ARTHAUD dans les médias aujourd'hui


Nathalie dans les médias
 
 
Ce lundi 6 mars
Public Sénat / Sud Radio : Nathalie Arthaud invitée de la matinale
à 08h00
  
LCI : Interview de Nathalie Arthaud
à 12h15
 
France 5 : Nathalie Arthaud est invitée dans l'émission C à dire
à 17h30
 
France 3 : Nathalie Arthaud est l'invitée du Grand Soir 3
à 22h30

 

 


Samedi prochain 11 mars

 

A Argenteuil, la grande fête locale de Lutte ouvrière
Complexe Jean Vilar
A partir de 17 heures (entrée libre)
Musique classique - Librairie-Badges
A 17 heures 30, débat :
« Les communistes révolutionnaires dans les élections présidentielles »
 A 19 heures (entrée libre)
Meeting
De Nathalie ARTHAUD
 
Puis, à 20 heures, sur réservation
L’Apéro, le banquet, suivi de la soirée dansante.
Un moment de musette puis le groupe des
« moonlights swampers »
 
Réservez vite : 15 euros, 7 pour les enfants accompagnés de moins de 14 ans. Chèques à l’ordre de « D. MARIETTE »
Pour tout contact : 06.99.49.98.64. et MDommarie@aol.com

Fonction publique, en grève et en manifestation demain


Demain, un premier jalon utile

 

Demain, une journée nationale de grève et de manifestation aura lieu dans tout le pays, dans les collectivités locales, dans l’Education comme dans les hôpitaux.

         Les raisons d’exprimer sa colère dans ces secteurs sont nombreuses. Elles sont les mêmes que dans les entreprises privées. Les salaires doivent augmenter. Il faut créer les postes nécessaires. Il faut dire halte à l’augmentation de la charge de travail de chacun et à la dégradation des conditions de travail. Il faut que l’argent de nos impôts permettent le fonctionnement des services publics utiles à la population, et qu’ils ne servent plus à arroser le patronat.

         Nathalie ARTHAUD, dans cette campagne électorale, n’a de cesse d’exprimer ces aspirations.

         Plus nous serons nombreux à les exprimer demain, et plus cela préparera les grands combats nécessaires qui ne manqueront pas d'avoir lieu à l'avenir.

 

A Argenteuil, une assemblée générale des travailleurs de la Ville est appelée par la CGT, à 9 heures devant l’Hôtel de Ville

  

Rennes (Ille et Vilaine)
Les territoriaux toujours dans l'action

 


Selon les syndicats, entre 300 et 400 agents territoriaux de la ville de Rennes se sont rassemblés jeudi 2 mars. Ils continuent à protester contre les modalités d’application du PPCR (Parcours Professionnel Carrière Rémunérations) qui sont défavorables aux plus basses catégories.

         L’adjoint au personnel et à la sécurité de la ville de Rennes leur a répondu par un ultimatum : soit les syndicats acceptent ses « propositions » soit « il n’y aura rien du tout ». Un vrai langage de patron.

         Les syndicats ont répondu en appelant à la grève mardi 7 mars lors de la journée nationale d’action de la Fonction Publique.

Argenteuil : complexe Jean Vilar : l'inquiétude de tous


Il y a urgence

 
Dès le matin...

Hier une très belle édition du Salon du Livre et des Lecteurs a eu lieu dans le complexe Jean Vilar.

         Toutes les interrogations des bénévoles concernaient l’avenir.

         Quelle sera la superficie de la structure provisoire mise en place si la salle Jean Vilar est fermée définitivement en juillet prochain ?

         Pour de tels évènements, la superficie et l’existence des deux salles du complexe Jean Vilar conviennent, avec, en plus, tous les locaux annexes.

         Les associations et les partis politiques attendent une réponse à cette question majeure pour qu’ils préparent l’avenir de leurs activités.

         Il y a urgence.

1917-France : la colère contre la guerre


France – 1917 : la colère contre la guerre 

En 1917, après trois années d’une guerre horrible, le mécontentement montait dans tous les pays, sur les fronts comme à l’arrière. En France, des mutineries eurent lieu sur le front. Mais à l’arrière aussi des grèves commencèrent à éclater.

En France, comme dans tous les pays belligérants, les industries avaient accru considérablement leurs activités, et ce d’autant plus que l’État finançait les nouvelles installations des Citroën, Renault, Schneider et autres fournisseurs indispensables des armées. Le nombre d’ouvriers s’en trouva également grossi, tout particulièrement dans les usines liées à l’armement et aux besoins des troupes, comme la métallurgie ou le secteur de l’habillement. Des ouvrières y avaient été embauchées massivement, ainsi que des travailleurs coloniaux ou étrangers, que les patrons avaient fait venir de tous les continents, y compris de Chine, avec le concours du gouvernement.

En août 1914, la classe ouvrière avait été désarmée politiquement par la trahison des dirigeants de la CGT et des socialistes de la SFIO qui, comme leurs homologues de toute l’Europe, s’étaient ralliés à la guerre. Une discipline de caserne pesait également de tout son poids sur le pays. Si nombre d’ouvriers avaient finalement été mobilisés dans les usines sur le « front de la production » en raison de la pénurie de main-d’œuvre qualifiée, ils pouvaient à tout moment être renvoyés vers les tranchées, et donc vers la mort, pour fait de grève, ou être traduits devant un conseil de guerre.

Le gouvernement, le patronat et la presse ne manquaient donc pas d’opposer dans leur propagande l’arrière – non pas les bourgeois, mais les ouvriers présentés comme des embusqués – et les combattants, les poilus qui, eux, risquaient leur vie à tout instant.

Mais, à partir de 1917, en même temps que l’agitation et le mécontentement s’étendaient peu à peu dans les unités du front, la classe ouvrière commença à redresser la tête. On dénombra cette année-là 293 000 grévistes et 696 grèves, contre 41 000 grévistes et 315 grèves l’année précédente.

Ces grèves éclatèrent dès le mois de janvier, puis entre mai et juillet, séparées par un 1er mai qui, pour la première fois depuis le déclenchement de la guerre, revêtit une certaine ampleur. Les femmes, dont les salaires étaient inférieurs d’un tiers à ceux des hommes, furent aux avant-postes de ce combat.

En raison de la flambée des prix, les bas salaires étaient à l’origine de la plupart de ces mouvements. Ainsi, le lait était passé de 30 à 50 centimes le litre, la douzaine de choux de trois à six francs en quelques mois. Dans le même temps, l’État instaura des journées sans viande, le pain et le sucre furent rationnés. Il n’était pas rare non plus dans les familles ouvrières de subir quotidiennement des coupures de gaz et d’électricité.

Les travailleurs mirent aussi à l’ordre du jour la semaine anglaise sur cinq jours, que la CGT avait placée en tête de ses revendications lors de son congrès de 1912. Les premières grèves ouvertement politiques éclatèrent enfin. Ainsi, le 1er mai 1917, à Vienne dans l’Isère, à l’appel de la CGT, une assemblée de 700 ouvrières et ouvriers prit position contre la guerre et vota une motion de soutien à la révolution russe, qui avait éclaté en février. En pleine guerre, et en raison du contrôle de plus en plus serré de l’État sur la production et l’alimentation, tout mouvement revendicatif prenait nécessairement un caractère politique.

La répression fut à la hauteur de ce premier assaut ouvrier et de la peur qu’il inspira au gouvernement. Ainsi, des troupes furent positionnées aux portes de Paris pour prévenir tout mouvement d’ampleur. Puis des centaines de militants ouvriers furent arrêtés et déférés devant les conseils de guerre, d’autres furent expédiés au front ou enfermés dans un camp.

C’est à ce prix que la bourgeoisie française réussit à faire refluer les mouvements de grève, tandis que sur le front les généraux faisaient fusiller pour l’exemple des dizaines de mutins. Mais ce n’était encore qu’une première manifestation, en France, d’une révolte qui montait dans toute l’Europe.

                                                        Pierre DELAGE (Lutte ouvrière n°2535)





Nathalie ARTHAUD dans les médias ce lundi 6 mars



Nathalie dans les médias


Ce lundi 6 mars

 à 08h00

Public Sénat / Sud Radio : Nathalie Arthaud invitée de la matinale


LCI : Interview de Nathalie Arthaud
à 12h15

France 5 : Nathalie Arthaud est invitée dans l'émission C à dire
à 17h30

France 3 : Nathalie Arthaud est l'invitée du Grand Soir 3
à 22h30