Pour la municipalité, parler de l’Impressionnisme, vous n’y pensez pas !
Demande et accord : fin mars. Annulation la veille de l'évènement !
Le Comité Jean Vilar combat depuis 2016 contre la réalisation du projet calamiteux Fiminco-municipalité. Mais il a plusieurs visages, si l’on peut dire. Celui de défendre la salle communale des fêtes Jean Vilar, son parking et ses arbres. Mais aussi, celui de défendre le patrimoine local marqué par le rôle de cet espace dans l’histoire d’un courant pictural majeur, l’Impressionnisme dont on fête les 150 ans.
C’est cette double activité que ce Comité voulait mener à l’occasion de la fête des Berges d’hier. En menant son activité habituelle d’information à l’extérieur du Parc, et en menant son activité culturelle artistique à l’intérieur de ce dernier.
Pour cela, il avait répondu à l’appel pour participer à la fête et obtenu son agrément. Et avant-hier matin, patatraque, il était devenu persona non gratta et ne pouvait tenir de stand.
Donc l’histoire continue. Tant pis pour les participants qui auraient pu échanger sur l’Impressionnisme avec des adhérents compétents du Comité.
Voilà un nouvel exemple de la façon dont la municipalité agit et même gère des évènements qui lui tiennent pourtant, paraît-il, à cœur. Un nouvel exemple de son extrême délicatesse !
Bon, au final, tant pis pour la culture, puisque le Comité Jean Vilar a été contraint de concentrer ses forces à l’extérieur du Parc. L’accueil y a été excellent, mais nous n’avions aucune raison d’en douter. DM
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