Des ennemis mortels du mouvement ouvrier
Samedi 9 octobre, à Rome, la confédération syndicale CGIL a été attaquée en marge d'une manifestation contre le passe sanitaire.
À l'appel d'un dirigeant néofasciste local à « assiéger » le syndicat, quelques dizaines de manifestants ont forcé le siège de la CGIL et vandalisé du matériel.
Pour se défendre contre ces nervis, ennemis mortels du mouvement ouvrier, les travailleurs n'ont rien à attendre de l'hypocrite « solidarité » de politiciens de tout bord, ni d'une illusoire protection de l'appareil d'État qui a de multiples liens avec l'extrême-droite.
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire