mardi 7 septembre 2021

Argenteuil, projet calamiteux Héloïse de la municipalité, le mépris à l’encontre de la vie politique locale

 

Que vive le droit de réunion au complexe Jean Vilar

 


Si la municipalité a écrit in extremis aux associations locales avant de prendre des décisions qui se retourneront contre elles si elles se concrétisent, elle ne l’a même pas fait en direction des forces politiques de la Ville. Celles-ci sont pourtant au premier chef concernées par l’hypothèse de la disparition du complexe Jean Vilar.

         Celui-ci a été utilisé de longue date bien normalement comme salle de réunion pour les courants politiques existant à Argenteuil, dans un cadre électoral ou pas. Le courant politique de la municipalité en a bénéficié comme les autres. Le mouvement ouvrier également, du PCF à Lutte ouvrière, sans parler des organisations syndicales.

         Pour notre part, nous avons maintenu à la force du poignet la tradition des banquets et meetings, en y organisant le « Banquet des amis de Lutte ouvrière d’Argenteuil et de la région », et cela depuis 1992 dans le complexe Jean Vilar, d’abord dans la petite salle, puis dans tout le complexe.

         Nous sommes donc directement concernés par son avenir. Nous attendons d’ailleurs la réponse à notre demande pour l’organisation de l’édition 2022.

         Nous considérons que l’oubli de s’adresser aux forces politiques locales est un manque flagrant de délicatesse.

         Il y a bien des raisons qui expliquent le rejet de la politique. Mais cet oubli y participe sans contexte, et est une entorse aux droits démocratiques fondamentaux dont la municipalité se réclame, je crois. DM

 

 

 

Nos prochaines permanences :

-vendredi 10 septembre de 17h.15 à 18h.15 au carrefour "Babou"

 

Nos prochains rendez-vous :

Demain mercredi, 18 h.30, parvis de l'hôtel de ville bien sûr.

Le samedi 11 septembre, lors du Forum des associations, nous nous retrouverons sur les stands.

Le samedi 18 septembre, rassemblement pour la défense de l’espace Jean Vilar et contre le projet Cap Héloïse.

Le jeudi 23 septembre, à 20 heures, grande salle de l’espace Nelson Mandela, une réunion publique-débat de Lutte ouvrière : crise de la société et perspectives pour le « camp des travailleurs »

 

Achetez notre hebdomadaire Lutte ouvrière (1,2 euro) numéro 2770, et Lutte de classe (2,5 euros) n°217, lors des permanences et :

         Chez les marchands de la presse :

                   -au Val d’Argenteuil-nord, bureau de tabac de la « dalle » ;

                   -librairie « Le presse papier », avenue Gabriel Péri.

 

Attention : mes 5 articles du jour apparaissent parfois sur deux pages voire sur trois pages. Pour lire les 5 articles, cliquez en bas de la première page sur « articles plus anciens). DM

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