29 enfants originaires du Kosovo et de la Tchétchénie qui sont aujourd'hui scolarisés à Saint Gratien, suite à une mobilisation, sont en revanche, toujours interdits de cantine, d'étude, et de centre de loisirs. La maire de Saint-Gratien avance le fait que c'est à l'Etat de prendre en charge les réfugiés qu'il a acceptés. Mais rien n'empêche de les accueillir dignement, quitte ensuite à se retourner vers l'Etat pour le mettre devant ses responsabilités financières.
Il y a quelques jours, cette dame était à la préfecture pour remettre leurs couronnes aux nombreux jeunes de Saint-Gratien qui étaient arrivés en bonne position au Concours de la résistance s'adressant aux collégiens et aux lycéens qui avait pour thème cette année la répression durant la deuxième guerre mondiale et la solidarité face à celle-ci.
Elle devrait entendre que s'opposer à l'inacceptable aujourd'hui, c'est faire preuve de sa part de la plus élémentaire solidarité envers ces jeunes réfugiés.
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