lundi 2 juin 2025

Pas de Fête de Lutte ouvrière sans de très nombreux spectacles, les 7, 8, et 9 juin prochains à Presles (J-5)


 

 


 À suivre…

Cette fête est destinée à tous. Profitons-en !

 

Le dimanche 8 juin, nous bénéficions exceptionnellement d’une navette unique mais gratuite pour se rendre et revenir de la fête de Lutte ouvrière en partant d’Argenteuil. Elle partira à 9 heures à l’entrée du parc de la mairie boulevard Léon Feix. Elle repartira de la fête à 19 heures. Elle permet de vivre une dizaine d’heures sur la fête. Elle convient totalement aux anciens et aux familles avec enfants. Ces derniers accompagnés bénéficient de la gratuité jusqu’à 14 ans. Bien sûr, pour les autres comme pour tous, il faut se munir de la carte d’entrée, jusqu’à dimanche prochain, 20 euros pour les trois jours.

         Il reste des places à ce jour dans ce car. Nous aimerions tant que le car soit plein cette année, ce qui justifiera que nous puissions à nouveau bénéficier du même service l’an prochain. Je pense particulièrement aux familles à revenus modestes. Pour les enfants, avec peu de dépenses sur place, c’est le bonheur assuré.

         Alors parlez-en autour de vous, faites circuler, faites que les inscriptions arrivent vite maintenant auprès de moi-même,

 

Jusqu’à mercredi prochain (on peut me joindre jusqu’à midi ce jour-là, la carte d’entrée pour les trois jours coûte 20 euros. C’est gratuit pour les enfants accompagnés jusqu’à 14 ans. Sur place, la carte coûtera 20 euros.

Dominique : 0699499864 ou MDommarie@aol.com

 

dimanche 1 juin 2025

Taxis mobilisés : les chauffeurs ne veulent pas être roulés

Taxis mobilisés : les chauffeurs ne veulent pas être roulés

Les taxis continuent de se mobiliser contre une convention qui va faire baisser leur rémunération pour le transport de malades. Le 26 mai, ils se sont rassemblés devant les terminaux de Roissy et d’Orly, avant de rejoindre la manifestation près du ministère des Transports à Paris. De telles manifestations ont eu lieu également dans d’autres villes.

Publié le 27/05/2025

Les déclarations de la porte-parole du gouvernement, Sophie Primas, le 23mai affirmant que le gouvernement ne ferait « pas machine arrière » ont eu pour résultat de raviver la colère. La vague promesse faite par Bayrou, le lendemain à lissue dune nouvelle réunion, de « retravailler le détail » de la convention « dès mardi », n’a pas convaincu davantage.

Ces trajets représentent une grande partie du chiffre d’affaires des taxis conventionnés, voire la quasi-totalité pour tous ceux qui sont installés dans des zones rurales. « En Charente, il n’y a pas trop d’aéroports ou de grosses gares… Faire le métier de taxi pur et dur, comme dans les grandes métropoles, est évidemment plus compliqué dans les milieux ruraux », explique David Bretin, président syndical de la Fédération des taxis indépendants du département pour qui le transport sanitaire représente entre 75 % et 80 % de son activité.

Le gouvernement cherche à faire des économies en coupant dans les plus de 6milliards de dépenses de transport sanitaire, un service devenu indispensable pour la population. Cela pénaliserait certes les taxis, mais poserait de gros problèmes aux malades eux-mêmes, car des mesures inciteraient les taxis à prendre plusieurs malades pour un même trajet, et à ne pas rentrer à vide. Les patients seraient donc contraints d’accepter cette mutualisation du transport avec toutes les difficultés induites, comme l’allongement du temps pour se rendre à des examens ou pour en revenir, sans parler de la menace de ne pas être remboursé dans le cas où ils ne prendraient pas les taxis conventionnés.

À raison, les taxis s’organisent car ils n’acceptent pas d’être sacrifiés. Toutes celles et tous ceux qui, dans les classes populaires, sont visés par ce qui est une aggravation des conditions d’accès aux soins, auraient toutes les raisons de faire de même.

                                                           Aline Retesse (Lutte ouvrière n°2965)

 

Les prochaines permanences et rendez-vous prévus à Argenteuil et la région :

-Aujourd’hui dimanche 1er juin, de 10 h.15 à 10 h.55 devant l’Intermarché du Centre ;

Et de 11 h. à midi, au marché Héloïse ;

Lundi 2 juin, de 18 à 19 heures, centre commercial de la cité des Raguenets de Saint-Gratien.

 

 

La guerre, un laboratoire pour les militaires

 

Horreurs d’hier, horreurs de demain

  


Au Japon, de récentes archives montrent que l’armée a effectué en Chine, de 1938 à 1945, des expérimentations médicales qui visaient à l’élaboration d’armes biologiques. Des bombes contenant des puces porteuses des bactéries de la peste ou du choléra furent larguées par avion sur des villages, des rats contaminés lâchés dans la nature.

         Après la guerre, Shiro Ishii, un haut-gradé qui dirigeait une de ces unités expérimentales, fut secrètement protégé par les États-Unis, pour qui ses travaux constituaient « une inestimable contribution ». Eux-mêmes avaient mené leurs expérimentations : la bombe atomique larguée sur Hiroshima et Nagasaki, ou le napalm testé sur la ville de Royan en avril 1945.

         Aujourd’hui, les préoccupations des militaires restent les mêmes : avec drones et IA, en Ukraine ou à Gaza, ils mettent la technologie au service de la barbarie impérialiste.