Jours de fête
Vous saurez tout, tout sur la fête
https://fete.lutte-ouvriere.org/
On ne peut vivre modestement mais correctement avec moins de 2000 euros mensuels !
Des augmentations sont nécessaires pour qu’il reste rempli
La Première ministre a dit que son premier projet de loi portera sur le pouvoir d’achat. Or la suppression de la redevance télé, la prolongation pour quelques mois de la remise de 18 centimes par litre sur le carburant ainsi que du tarif réglementé pour le gaz... pèseront peu par rapport à l’inflation qui pousse les classes populaires vers la misère.
Il faut imposer, par la lutte collective, l’augmentation des salaires et des retraites et leur indexation sur les prix !
Achetez notre hebdomadaire Lutte ouvrière (1,5 euro) numéro 2807 demain, et Lutte de classe (2,5 euros) n°224 avec un article très important sur le bilan des Présidentielles (au « Presse papier » seulement), lors des permanences et chez les marchands de la presse :
-au Val d’Argenteuil-nord, bureau de tabac du Val-Nord ;
-librairie « Le presse papier », avenue Gabriel Péri.
Les prochaines permanences :
-aujourd’hui mercredi 25 mai, de 11 h. à midi au marché des Champioux ;
-demain jeudi 26 mai, de 10 heures à midi, centre commercial de la cité Joliot-Curie.
La Fête de Lutte ouvrière à Presles, les 27, 28 et 29 mai 2022, c’est après-demain
La vignette d’entrée coûte 25 euros pour les 3 jours. C’est gratuit pour les enfants accompagnés de moins de 14 ans.
Réunion publique des candidats de Lutte ouvrière dans la 5ème circonscription du Val d’Oise
Élections législatives du 12 juin 2022
Avec Dominique MARIETTE ET Michel CAMPAGNAC
Espace Nelson Mandela
9 juin
Chez Continental-Toulouse, la fabrication en grève pour les salaires
A Continental au Mirail, après avoir débrayé à plusieurs reprises contre les propositions dérisoires de la direction en matière d’augmentations, les équipes de fabrication ont déclenché la grève depuis jeudi 19 mai après-midi.
Le relais s’est passé d’équipe en équipe, jusqu’au week-end compris. La production est arrêtée, rien ne sort.
Ils refusent l’aumône des 2, puis 2,5 % que veut leur donner la direction, qui les enfume en prétendant les augmenter… avec leur propre argent en intégrant une partie des primes dans son calcul.
Avec une inflation qui galope, ils ne veulent pas être les dindons de la farce et réclament de vraies augmentations : 200 euros pour tous.
Ils ont raison d’employer le seul langage que comprennent les patrons : celui de la grève.