Ni erreur ni grosse connerie, la pratique habituelle des édiles des grandes collectivités en l’encontre des habitants
Si l’on veut être un tant soit peu crédible pour l’avenir, il faut reconnaître ce que l’on a fait dans le passé. Apparemment, cela est difficile à admettre quand il s’agit de l’affaire Fiminco et de la manière dont il a émergé à Argenteuil. Ainsi lors du dernier conseil municipal on a pu entendre de la bouche de la chef de file des écologistes du Val d’Oise et conseillère municipale : « Marine C : On vient d’entendre « c’était le projet de mon prédécesseur », c’est faux, il n’avait jamais été présenté à l’équipe municipale ; le multiplexe n’était pas prévu près du pont ; il n’y avait pas de logements ; la salle devait rester municipale. » Cette conseillère en sait des choses puisque moi-même et d’autres n’ont jamais entendu parler de cette affaire jusqu’en mars 2017 lorsque le maire Georges Mothron en a fait l’éloge en conseil municipal.
Pendant tout un temps ensuite, Philippe Doucet a été aux côtés de ce dernier pour soutenir le projet, et nous ne pouvons que confirmer une nouvelle fois qu’il a fait « un enfant dans le dos aux habitants ».
Certes c’est la loi commune aux politiciens. Mais la suivre n’est vraiment pas la meilleure façon de gagner la confiance des Argenteuillais.
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