Macron apprenti garçon-boucher
En visite à Marseille, Macron était satisfait d’annoncer qu’un nouvel hôpital militaire va y être construit pour « préparer la France à une éventuelle guerre de haute intensité (…) pour pouvoir mieux nous engager aux combats et mieux recevoir nos blessés ».
Quand il dit « nous » et « nos », c’est un abus de langage : des gens comme Macron sont prêts à décider d’envoyer les autres se faire massacrer, mais eux ne sont pas envoyés sur le champ de bataille.
Ces 300 millions promis à un hôpital militaire sont aussi l’aveu que l’ensemble des hôpitaux publics, eux, continueront à être dans la misère.
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