mercredi 26 juillet 2023

Brutalités policières : encouragements de la hiérarchie à l’impunité

La revendication d’un droit à brutaliser sans limite

 

 

En marge des émeutes à Marseille fin juin, des policiers de la BAC ont tabassé un jeune, lui provoquant un hématome intracérébral, une fracture de la mâchoire, et l’éborgnant.

L’un de ces policiers, en détention provisoire dans le cadre de l’enquête sur ces violences, a reçu le soutien du directeur de la police nationale : « un policier n'a pas sa place en prison, même s'il a pu commettre des fautes ou des erreurs graves dans le cadre de son travail »…

Les brutalités policières ne sont pas juste des débordements de moutons noirs, mais le fonctionnement habituel d’un appareil d’autorité, telle que la conçoit Macron, qui défend, de haut en bas, un ordre social injuste.

 

Les prochaines permanences prévues :

-vendredi 28 juillet, carrefour Babou, de 17 h.15 à 18 h.15.

 

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