La santé mentale, parent pauvre de la médecine
Les Assises de la santé mentale se tiennent au ministère de la Santé. Différents collectifs de soignants dénoncent une mise en scène gouvernementale qui ne règlera aucun des problèmes de la psychiatrie, parent pauvre de la médecine.
La réalité c’est le manque de pédopsychiatres, des malades livrés à eux-mêmes faute de suivi en hôpital de jour, la multiplication des contentions et des isolements faute d’hospitaliers en nombre suffisant, etc.
La pénurie de moyens isole les malades et aggrave leur état, alors que les troubles psychiques augmentent dans cette société en crise. C’est l’un des symptômes de sa barbarie.
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