En l’occurrence, le vandale n’est pas celui qu’on croit
Débranchée à l’occasion d’une « réparation »
d’un autre opérateur au bénéfice d’un voisin, la fibre de mon appartement vient
d’être réparée. 10 minutes maxi d’intervention. Le réparateur remet le fil. Si
je fais un stage chez SFR sûr que je vais bientôt pouvoir le faire moi-même.
Bon,
la connexion est rétablie. Mais je ne suis pas rassuré pour autant. Car, jusqu’à
quand cela va-t-il tenir ? Jusqu’à la prochaine réparation d’un autre
opérateur qui ne tiendra pas compte des fils des concurrents ?
Sur
une année, à combien vont revenir les interventions des réparateurs -certes rétribués
au lance-pierre- des différents opérateurs venus intervenir sur le coffret à
fibre de cette résidence de vingt appartements ? Dix fois plus que ce
coûterait l’installation d’une véritable installation conforme et sécurisée ?
C’est
celle-là que les habitants attendent, et pas à la Saint-Glinglin. DM
Bouger les lignes ? Simplement les rendre fiables
Dans le dernier numéro du
bulletin municipal « Ma Ville »,
une brève aborde à nouveau cette question. On y lit : « Alors le
maire, la députée, une commission Ville-usagers-opérateurs et même un collectif
d’habitants récemment créé se mobilisent pour faire bouger les lignes… »
On
imagine que SFR en tremble. Soyons sérieux, pour que cet opérateur en charge,
par contrat (qu’il serait bon de rendre public) de l’installation de la fibre
sur la commune, s’active véritablement, c’est-à-dire en se donnant les moyens
humains et matériels pour le faire, il faudrait qu’il y ait une véritable
mobilisation de tous.
Quels
sont ces moyens humains et matériels pour régler le problème mobilisés par SFR ?
Quel plan territorial pour rendre conforme et sécurisé le réseau dont il a la
charge ?
On va se
croiser au Forum. Profitons-en pour échanger sur la question. DM
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