Pour sourire un peu…
L’ancienne présidente du Comité
Jean Vilar a été radiée dernièrement de l’association qu’elle avait fondée en
2017 avec quelques autres personnes, dont nous-même, d’engagements (ou pas) différents.
Elle a été radiée parce qu’elle a refusé de démissionner pour avoir engagé
moralement ce comité en figurant sur un tract d’une liste candidate aux
prochaines élections municipales, en y figurant en tant que
« présidente » de ce Comité, c’est-à-dire mettant une responsabilité
associative délivrée collectivement par les adhérents au service d’une liste
particulière, en figurant donc à ce titre sur un tract électoral. Cela est
d’autant plus cocasse que cela concerne la liste de l’ancien maire à l’origine
de toute l’affaire du projet Cap Héloïse contre lequel cette personne prétend
lutter…
Elle
s’étonne de tout cela, et évoque sans rire sur Facebook un
« procès en sorcellerie, digne des grandes périodes de l’inquisition.
Selon la période, j’eus été brûlée en place publique ou enfermée au
goulag ». Sans blague !
Aux
XVIème et XVIIème siècle, puisque l’histoire est évoquée, on n’imagine mal pour sa gouverne
et son mentor, que les habitants d’Argenteuil aient pu imaginer et accepter
pour leur berge de Seine un projet aussi destructeur.
Quant
aux soi-disant dangers auxquels cette ex-présidente prétend avoir échappés dans
sa machine à remonter le temps, nous lui conseillons pour prendre un peu de
recul avec tout cela de regarder dans Wikipédia ce qui y est dit sur
l’inquisition et le goulag. Quant à être brûlée en place publique en guise de
sorcière…
Bon,
après des temps plus sereins pour tous, nul doute que nous nous retrouverons
tous ensemble pour défendre la salle des fêtes communale Jean Vilar, et
empêcher que le projet Cap Héloïse se réalise, si tant est que l'élu de demain n'ait pas abandonné ce projet destructeur. DM
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