mardi 21 janvier 2020

Argenteuil, défense de Jean Vilar, et petit souci associatif


Pour sourire un peu…



L’ancienne présidente du Comité Jean Vilar a été radiée dernièrement de l’association qu’elle avait fondée en 2017 avec quelques autres personnes, dont nous-même, d’engagements (ou pas) différents. Elle a été radiée parce qu’elle a refusé de démissionner pour avoir engagé moralement ce comité en figurant sur un tract d’une liste candidate aux prochaines élections municipales, en y figurant en tant que « présidente » de ce Comité, c’est-à-dire mettant une responsabilité associative délivrée collectivement par les adhérents au service d’une liste particulière, en figurant donc à ce titre sur un tract électoral. Cela est d’autant plus cocasse que cela concerne la liste de l’ancien maire à l’origine de toute l’affaire du projet Cap Héloïse contre lequel cette personne prétend lutter…
         Elle s’étonne de tout cela, et évoque sans rire sur Facebook un « procès en sorcellerie, digne des grandes périodes de l’inquisition. Selon la période, j’eus été brûlée en place publique ou enfermée au goulag ». Sans blague !
         Aux XVIème et XVIIème siècle, puisque l’histoire est évoquée, on n’imagine mal pour sa gouverne et son mentor, que les habitants d’Argenteuil aient pu imaginer et accepter pour leur berge de Seine un projet aussi destructeur.
         Quant aux soi-disant dangers auxquels cette ex-présidente prétend avoir échappés dans sa machine à remonter le temps, nous lui conseillons pour prendre un peu de recul avec tout cela de regarder dans Wikipédia ce qui y est dit sur l’inquisition et le goulag. Quant à être brûlée en place publique en guise de sorcière…
         Bon, après des temps plus sereins pour tous, nul doute que nous nous retrouverons tous ensemble pour défendre la salle des fêtes communale Jean Vilar, et empêcher que le projet Cap Héloïse se réalise, si tant est que l'élu de demain n'ait pas abandonné ce projet destructeur. DM

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