Quand le malheur des uns fait les profits des autres.
Aucune offre de reprise n’ayant
été acceptée par la justice, les 1 150 salariés d’Aigle Azur se retrouvent
jetés à la rue après la liquidation de l’entreprise. Le sort de ceux de la
compagnie XL Airways se trouve également suspendu au bon vouloir des financiers
et des juges.
Mais les
compagnies aériennes, elles, se frottent déjà les mains, et notamment Air
France, qui va récupérer la plus grosse partie des 10 000 créneaux de
décollage à Orly dont disposait Aigle Azur. Le malheur des uns fait les profits
des autres.
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