Quand ils ont besoin de nous…
On ne sait pas encore dans
quelles conditions ouvrira lundi le nouveau groupe scolaire Simone Veil du
quartier du Val-Notre-Dame. Comme nous l’avons écrit il y a quelques jours, la
municipalité devra une fière chandelle à tous les travailleurs qui auront fait
le maximum pour qu’il puisse ouvrir, même dans des conditions acceptables
minimales.
La
municipalité en devra aussi une aux employés municipaux du service des Écoles
qu’elle a sollicités pour venir nettoyer l’ensemble des locaux de l’école
Simone Veil qui en avaient besoin hier.
Pourtant,
à longueur d’année, la hiérarchie de ce service tente de mener la vie dure à
ces travailleuses territoriales. Mais là, la municipalité s’est faite tout
sourire pour trouver de l’aide.
Bien
évidemment, quand il s’agit que tout soit prêt au mieux en tout cas, alors que
les enfants et leurs parents sont particulièrement inquiets face à la nouveauté
de cette école terminée aux forceps, on ne peut pas rester indifférent.
A
ce propos, ce que nous appelons une « municipalité ouvrière », en
pareil cas ou face à des difficultés du même type, ferait appel aussi à la
population et aux associations pour l’aider.
Une
idée surprenante ? En tout cas, pas pour nous et pour ceux pour qui le
fonctionnement de la société et la résolution des problèmes pourraient facilement
éviter de prendre les circuits marchands et financiers, et cela à l’avantage de
tous. DM
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