Réduire les délais pour loger au plus vite
Dans le parc de logements du
bailleur local AB-Habitat, l’attribution des logements vides à de nouveaux
locataires a pris un sacré retard. Il n’est pas rare de voir des logements ne
pas être attribués après un an de vacance. Il y en aurait même eu dernièrement
un vide toujours au bout de trois ans. Même s’il y a un certain nombre de
problèmes, l’attribution des logements ne dépendant pas d’une autorité unique,
ce n’est pas une situation acceptable.
C’est
même franchement inadmissible lorsque l’on sait qu’il y a des milliers et des
milliers de demandeurs de logements qui attendent sur Argenteuil un logement
depuis de très nombreuses années.
Le combat pour l’égalité filles-garçons
Dans le dernier numéro de L'Argenteuillais, le petit dossier sur les
« Espaces jeunesse » de la Ville a attiré notre attention, surtout
les photos qui en forment l’essentiel. Sur les 34 jeunes et encadrants qui sont
représentés sur les quatre photos l’illustrant, il n’y a que deux filles !
Cela fait vraiment maigre.
C’est
sans doute révélateur de la situation de la fréquentation actuelle de ces lieux pour les jeunes de la Ville, mais tout aussi incontestablement dommageable.
Ces
espaces jeunesse s’adressent à des adolescents et des adolescentes et devraient
être l’occasion pour eux d’une approche supplémentaire de la mixité et de ses enjeux.
Bien
évidemment, cet objectif n’est pas facile à atteindre, mais 2 filles sur 34,
cela donne tout de même à réfléchir.
Ces
images sont d’autant plus marquantes que toujours dans L’Argenteuillais, à la suite de ce dossier sur ces espaces jeunesse,
un article portant le titre « Apaiser la douleur » évoque, lui, l’action
caritative d’un groupe de jeunes qui milite pour redonner « sourire et
confort à des enfants malades ou orphelins ». Et sur la photo qui
l’illustre, on peut voir que sur les dix jeunes photographiés, là, la
proportion est inverse : huit filles sur dix !
Les
garçons au jeu, les filles pour porter réconfort ! Non aux stéréotypes qui
ont la vie dure !
Un comble... A combler de toute urgence !
Rue
d’Artois, cité Joliot-Curie :
Pour le Tour de France, non ! Pour un cyclo-cross ? |
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