Le 7.09.
En Grèce, le gouvernement a l’intention de licencier 4 000 fonctionnaires avant la fin de l’année et d’en placer 25 000 en « mobilité ». Le ministre de la réforme administrative explique sans détours : « La notion de mobilité a été utilisée pour masquer les licenciements que l’on n’arrivait pas à mener ». Il s’agit de soumettre les travailleurs du public au chantage « mutation forcée ou démission ».
Depuis 2010, ce sont près de 200 000 employés de l’État grec, contractuels ou titulaires, qui ont ainsi perdu leur emploi, par licenciement sec ou « mise en disponibilité ». Cela pour préserver les intérêts des grandes banques, dont ceux des banques françaises.
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