Vendredi
dernier, les États membres de l’ONU ont voté à l’unanimité un texte condamnant
les violences faites aux femmes, soulignant notamment que celles-ci ne
pouvaient être justifiées « par aucune coutume, tradition ou considération
religieuse ».
Une telle déclaration ne mange pas
beaucoup de pain bénit, mais c’en était déjà trop pour quelques États qui
voulaient biffer cette dernière phrase et qui, faute d’y être parvenus, ont
tenu à émettre des « réserves » officielles sur leur signature. Parmi
ces États, on trouve des pays comme l’Iran, l’Égypte ou l’Arabie Saoudite, mais
aussi... le Vatican.
Eh oui, sous tous les cieux et sous tous
les noms, leur dieu est, disent-ils, amour... de la misogynie profonde.
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