On
peut être minoritaire à la date d’aujourd’hui dans l’opinion publique et être
un courant politique qui compte dans un certain nombre d’entreprises et de
quartiers populaires, là où nous militons, là où se décidera l’avenir de notre
classe à travers ses luttes. On peut être minoritaire et offrir l’analyse juste
de la situation et un programme de lutte nécessaire à notre classe.
Le
courant communiste révolutionnaire est bien vivant. Le meeting du Zénith en a
donné une nouvelle preuve. Ceux qui pratiquent internet peuvent le vérifier en
écoutant l’intégralité des interventions de cette réunion présidée par notre
camarade toujours vaillante et si présente, Arlette LAGUILLER.
(lutte-ouvrière.org).
Les 4000 assistants ont pu entendre
décrire le sort de leur monde, celui du travail, à travers les quatre premières
interventions : notre camarade Gislaine JOACHIM-ARNAUD apportant le
soutien de notre organisation-sœur des Antilles, Combat Ouvrier, et exposant la
situation dramatique de nombre de nos frères d’au-delà des océans, puis deux
camardes, de la santé et du transport exposant le recul des services publics.
Jean-Pierre MERCIER indiquant, pour terminer, que la lutte d’un entreprise
devrait être celle de tous les travailleurs du pays, à partir de l’exemple du
combat des ouvriers de son entreprises, PSA, contre la fermeture de l’usine
d’Aulnay-sous-bois.
Nous ne reviendrons pas sur
l’intervention de Nathalie ARTHAUD qui sous les applaudissements et les
drapeaux flottant au rythmes de ces derniers, a répété une nouvelle fois le
plan de lutte nécessaire à ces combats et mobilisations futures, un plan de
lutte sur lequel nous demandons dimanche prochain que vous vous prononciez
nombreux en apportant vos suffrages à sa candidature. Nathalie ARTHAUD a terminé
sur la nécessité de construire le parti communiste révolutionnaire qui manque
cruellement aujourd’hui à la classe ouvrière.
De retour du meeting avec Nathalie Arthaud, présidé par Arlette Laguiller.
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