mardi 21 février 2012

Une administration à la botte du pouvoir


Le rectorat de Lille, contacté par un député UMP, a décidé de mettre quinze jours à pied une enseignante. La raison invoquée est une lettre que celle-ci a écrite à son député, dans laquelle elle attaque la politique du gouvernement sans mâcher ses mots. Le recteur prétend que la professeure serait ainsi « sortie de son devoir de réserve ». Lui en réalité n’hésite pas à sanctionner pour délit d’opinion. Scandaleux.

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