La campagne de Nathalie ARTHAUD, des petits médias certes, mais l’activité militante

 

À défaut encore des grands

 

 

Nous entendons fréquemment lors de nos activités la réflexion suivante à propos de notre candidate Nathalie ARTHAUD : « Mais on ne l’entend pas dans les médias ».

         Oui, on ne l’entend pas dans les médias qui sont monopolisés par Macron-Zemmour-Pécresse-Le Pen, bref par les serviteurs de la bourgeoise.

         Les chaînes dites de « services public » sont dans les grandes largeurs au service du gouvernement. Quant aux autres, et à la presse, ils sont dans les mains de ceux qui donnent le la au niveau du grand capital, les Arnault, Bolloré, Drahi, et autre Dassault.

         Pour entendre Nathalie ARTHAUD et notre programme pour le « camp des travailleurs », il va falloir attendre qu’elle soit officiellement  candidate ; en tout cas, que nous l'entendions alors est une espérance. Elle n’aura dans tous les cas jamais la même audience que les susnommés.

         Alors, comptons sur ce qui dépend de nous. C’est-à-dire de notre capacité  à faire connaître d’une façon militante notre camarade.

         Nos permanences ci-dessus servent à cela. Rejoignez-les, pour que nous discutions aussi de vive-voix et que cela nous donne aussi l’occasion d’établir des nouveaux échanges et contacts. DM

Argenteuil et Distributeurs Automatiques de Banque ne font pas bon ménage

 

Prends l’argent, et tirette-toi

 

Dur à gagner, dur à retirer

Témoignage

Hier au soir, en début de soirée, ayant besoin d’espèces, je comptais sur les tirettes bancaires pour en obtenir. Histoire à épisodes.

         Le 1^er. Je comptais sur ma banque, La banque postale qui dispose théoriquement de quatre DAB dans le centre. Oui, mais il était 21 heures 20, et le centre Côté Seine qui en dispose de deux était fermé. En restaient deux… Oui, mais les deux de la rue Paul-Vaillant Couturier côté Carême-Prenant étaient indisponibles. Manque de chance, ça débute mal. Continuons…

         Épisode 2. Voyons du côté de l’avenue Gabriel Péri. La BNP. Tout marche bien, mais c’est finalement indisponible.

Passons au 3, et en face, à la Société Générale. Ma carte. Mon montant. Même mon code. Et rien ne sort. Cela semble exiger que je recommence. Ma carte. Mon montant. Mon code. Et rebelote, rien ne sort.

         Épisode 4. Conclusion. Je ressors d’une réunion une heure plus tard, et je tente à nouveau ma chance au Crédit Mutuel toujours avenue Gabriel Péri. Euréka, ça marche. Vive le Crédit Mutuel !

         Quand on parle de la défense des services publics utiles à la population, Madame du « ghetto » de Neuilly, c’est de cela dont on parle… Cela qui rend la vie impossible aux habitants des quartiers populaires. DM

Pollution : le coût de la course aux profits

 

Les capitalistes polluent, les contribuables paient

 

 

L’État rallonge de 100 millions le budget de la réhabilitation des friches industrielles. Il se monte à 650 millions d’euros en 2021-2022 pour dépolluer plus d’un millier de friches industrielles, minières ou commerciales.

Après avoir produit et pollué sans scrupule et sans aucune contrainte tant que cela leur rapportait, puis s’être en allé, des capitalistes abandonnent ces sites qui sont éventuellement nettoyés aux frais de l’argent public.

Le capitalisme coûte cher à la collectivité.